DEATH RUBRIQ' ▬ OCTOBRE

○ Et le maire fut décapité…
C’est le titre des gros journaux de la ville, que dis-je, du pays. Triste sort que voilà. Le maire a résisté à l’envahisseur. Le maire n’a jamais voulu céder à ces affaires de chantage. Pourquoi résistait-il avec autant de véhémence ? Ce soir, les vidéos qui tournaient en boucle sur les écrans depuis un mois se sont toutes tues. Le maire est mort ce soir, vive le maire ! Il a été retrouvé dans son grand bureau ovale… Lui qui était si fier de ce bureau ovale. Sans doute que la folie des grandeurs à l’américaine lui a valu cette terrible et horrible mort. Décapité ! Il a été décapité ! Chose plus surprenante encore, la nomination du nouveau maire et de son conseil fut… bien loin des conventions. Pourquoi les citoyens n’ont-ils pas pu élire les nouveaux dirigeants de la ville ? Suite aux derniers évènements de la ville, le Parlement londonien lui-même et la reine ont voulu prendre les choses en mains. Il est tout à fait hors de question qu’une ville de l’Angleterre tombe sous la coupe de terroristes et que ceux-ci mettent au pas le reste du pays.

○ This is halloween !
Dès leur arrivée, le maire et ses acolytes sont bien décidés à remettre de l’ordre à Niflheim et regagner la confiance des citoyens de la ville. Pour détendre l’atmosphère bien lourde de ces dernières semaines, la ville décide d’organiser des festivités pour le 31 octobre. Voilà que les rues commencent lentement mais sûrement à se revêtir des couleurs d’Halloween. A la demande de la mairie, beaucoup de boutiques du centre-ville, notamment celles qui peuvent proposer de la restauration rapide ou non, ont accepté de rester ouvert une bonne partie de la nuit pour pouvoir soutenir les activités ambulantes qui se dérouleront dans les rues de la ville. Ainsi, le soir du 31 octobre au 1 novembre, tout le centre-ville sera fermé aux voitures et autres véhicules, pour laisser place uniquement aux piétons. Pour permettre aux habitants de sortir en toute sécurité, les patrouilles de police seront renforcées ce soir-là pour éviter tout débordement.

○ Le nouveau maire est issu d’une famille de brigands !
Il fallait s’y attendre. Les journaux sont friands de potins en tout genre, et notamment des potins people. Et comme toute nouvelle nomination, surtout lorsqu’il s’agit de nomination politique, les rumeurs vont bon train. Bien qu’aucun des journalistes n’ait réussi à reprocher quoi que se soit au nouveau maire, il n’en reste pas moins qu’ils cherchent à entacher son nom avec les déboires excentriques de sa famille. Les journalistes opposés au parti conservateur, dont est issu le nouveau conseil de la ville et le maire, cherchent à tout prix à décrédibiliser la mairie. Celle-ci a d’ailleurs eu l’intelligence de faire une conférence de presse où les nouveaux élus, notamment monsieur de La Hotte, maire de la ville de Niflheim, répond à toutes les accusations de ses détracteurs : celui-ci a de la suite dans les idées, et ne permettra pas qu’on le décrédibilise de la sorte. Ne doit-on pas voir en ses actions le calme avant la tempête ? L’inconnu encapuchonné avait promis un Halloween avec une lune de sang, et celui-ci est bien silencieux depuis la nomination de monsieur de La Hotte.




○ « Comme si j'étais capable de dire non. Tu le sais, tu t'en sers. C'est vraiment pas du jeu. »
Une petite soirée, entre l'été et l'automne, s'annonce. Officiellement, c'est un moment entre frères Alexander I. Cooney et Olympe E. Cooney. Cependant, dans « Tout ce que je ne te dis pas », l'on pourrait croire qu'ils sont un jeune couple de quelques mois, encore timides. Enlacés, les deux se prélassaient tranquillement sur le canapé pour regarder la télé jusqu'à se décider d'aller manger ensemble des ramens à l'extérieur. On notera que les deux frères sont vraiment attentionnés l'un envers l'autre, Alexander vient coiffer les cheveux d'Olympe et en retour ce dernier se soucie qu'il attrape froid et lui conseille de prendre une écharpe. Et tout ceci agrémenté de toutes les pensées déviantes des deux jeunes hommes, ne l'oublions pas, l'amour est un sentiment complexe. Un peu de douceur comme lecture ne fait jamais de mal !

○ « Excusez moi... je ne voudrais pas vous déranger mais, je vous ai vu tirer, et je voudrais savoir si cela vous intéresserait de suivre une sorte de...de "cours improvisés" ? »
Dans un stand de tir, les gens tiennent à garder leur intimité et à ce qu'on les laisse tranquille afin de pouvoir rester concentrés sur leur cible. Dans « Que les masques tombent », Isaac Hargreeves et Duncan E. Archer viennent à la rencontre de Milo McKellen pour faire un petit cours à trois. Isaac l'expert est donc là pour apprendre d'abord à Duncan à tirer puis maintenant à Milo, mais ce n'est pas sans mauvaises intentions. N'oublions pas que notre cher Milo est en réalité un vrai tireur d'élite et se fait passer pour un débutant pour n'éveiller aucun soupçon. Isaac est intelligent et a senti que quelque chose clochait, et il fera tout pour le prendre la main dans le sac ! Une vraie enquête policière, mais cette fois-ci avec un historien !

○ « On déteste toujours chez les autres ce que l’on ne peut corriger chez soi... »
Parfois une simple rencontre dans un lieu simple peut amener à de nombreuses confidences. Dans « Welcome to the infinite black skies », on découvre la première rencontre d'Ulysse Tabarly et de James E. Miller dans une des salles d'attente de l'hôpital de la ville. Pour le coup, ils ont eu la chance d'avoir le même docteur pour pouvoir les faire se rencontrer. Les deux hommes ont des points communs autant physiquement qu'au niveau moral. Ils ont pu rendre cette attente plus supportable et agréable en apprenant à se connaître mais il est l'heure des consultations. Ils étaient prêts à se séparer lorsqu'Ulysse propose alors à James de poursuivre leur conversation à l'Agate, bar à chats que le brun apprécie tout particulièrement. Autour de petits félins ronronnant, ils s'apprêtent à s'avouer leur plus mauvais souvenirs. Belle rencontre qui mènera à une amitié très solide pour se soutenir l'un et l'autre.

○ Anael L. Ross nous a fait la totale. Pourquoi ne faire que l’un ou l’autre quand on peut faire des demandes de liens et une demande de rp en même temps ? Si vous souhaitez une idée de liens avec lui, n’hésitez pas à aller piocher dans le premier post de sa fiche de liens. Ex(s), client régulier du bar, collègue de boulot, amour non réciproque, ami ou ennemi : il y en a pour tous les goûts. Quand à sa demande de rp... Qu’attendez-vous pour lui montrer que vous êtes l’homme de la situation ? ○ Vous êtes tatoueur et vous cherchez un apprenti ? Vous êtes psychologue et avait une place pour un patient ? Vous êtes kinésithérapeute et vous avez justement des heures de libre dans votre emploi du temps pour prendre un nouveau patient ? Vous avez actuellement plus ou moins 21 ans et avait été scolarisé à Londres ? Sans doute que vous trouverez votre bonheur dans la demande de RP de Loveday Meadows qui se trouve juste là : demande de rp ! Les liens recherchés y sont décrits et… il va falloir se dépêcher car Loveday n’a que deux places pour le moment dans ses RP ! Alors, n’hésitez plus ! ○ Aaron Cray est aussi à la recherche de partenaires rp. Et il est trèèèèèès motivé. Pourquoi le faire languir plus longtemps ? Vous pouvez lui répondre juste là, sur sa demande de rp. Mais prenez garde ! Aaron adore les rp qui sont un peu WTF, et aime pouvoir se creuser la tête avec son partenaire pour trouver les meilleurs idées de rp possible. Que demande le peuple ?

○ Si certains font des demandes rp, d’autres font des demandes de liens. C’est le cas de Thomas E. Down recherche des harceleurs, un médecin et du personnel médical, des protecteurs / grands frères, des opposés, des personnes en lien avec son passé, des liens allant plus loin si affinité entre les personnages, et est même ouvert à d’autres idées de liens. Mais il vous en parlera bien mieux que moi dans sa fiche de liens. ○ Qui n’a jamais rêvé d’avoir un couturier / styliste dans ses amis ? … Ou dans ses ennemis ? Perceval Guerin cherche des partenaires rp juste là : demande de rp ! N’hésitez pas à lui faire des propositions. Il n’attend plus que vous pour se lancer dans une aventure épique, farfelue, extravagante, fantasque, saugrenue, fantaisiste, bizarre… enfin, une aventure, quoi ! ○ Et nous terminons ces tribunes libres avec Alexander I. Cooney. Celui-ci a beaucoup, beaucoup d’idées de liens : vous voulez un nouvel ami ou être un ami d’enfance ? Un ancien pote de lycée ? Un ami de la fac ? Un amis de beuverie ou de chasse au plan cul ? Être carrément l’un de ses plans culs ? Un collègue ? Un patient, nouveau ou régulier ? Un ennemi ? Autre chose ? Qu’attendez-vous donc pour aller consulter la fiche de liens de notre psychologue clinicien et maitre de conférence.

Nameless : Bonjour mon cher Julian ! J'espère que tu apprécies d'être interviewé par moi, en os et rien qu'en os. Ne perdons pas plus de temps et intéressons-nous tout de suite à toi. Allons donc au vif de sujet, une question me turlupine depuis que je m'intéresse à toi. Nous pouvons dire que tu as un double-jeu, voire même une double personnalité ! J'aimerais donc savoir dans quelles conditions tu préfères être, le petit Julian enthousiaste qui vend des cupcakes ou bien La Chouette manipulatrice ? Si tu ne devais choisir qu'une seule facette, qui serais-tu ?

Julian : (Il peine à retenir son sourire en coin.) Bonjour bonjour. Ah oui, c’est un grand, que dis-je, un IMMENSE honneur que d’être sur le siège de l’interviewé. Le début de la célébrité peut être ? Oh dis donc, vous attaquez fort là… C’est un peu compliqué. L’insouciance de Julian est agréable. Je suis de nature joviale, j’aime rire et m’amuser, alors naturellement, l’option “Jul” me fait de l’œil. Mais je sais aussi que sans la Chouette, mon petit frère ne pourrait pas se payer son traitement. Alors s’il fallait ne choisir qu’une personne, ce serait la Chouette. Ce n’est ni un aspect de ma personnalité que j’admire, ni que j’apprécie, mais c’est une nécessité. Quand on dit qu’on ne peut vivre d’amour et d’eau fraîche, ce n’est pas une plaisanterie...

Nameless : Vu qu'on parlait de ton activité de cambrioleur juste avant, j'aimerais que tu me racontes un peu comment ça se passe tout ça. Tu as l'air d'être très expérimenté, tu as quelques conseils pour mes lecteurs qui seraient tentés par la pratique ? J'imagine aussi que tu as dû découvrir de sacrés choses en t'introduisant chez les gens, tu brises leur intimité ! Peut-être une petite anecdote insolite à nous raconter ?

Julian : Expérimenté, c’est le mot : ce qui fait un bon cambrioleur, c’est avant tout l’expérience. Le cambriolage, on ne dirait pas comme ça, mais c’est un peu comme un sport : plus on le pratique, meilleur on devient. Evidemment, ça ne fait pas tout. La clef, c’est avant tout la concentration et la préparation. Je passe des semaines, occasionnellement des mois à observer, espionner, écouter, me renseigner, pour monter le plan parfait. Je ne me lance d’ailleurs jamais tant que subsistent des doutes ou des zones d’ombres. Déjà quand tout est au point, il m’arrive parfois des bricoles, alors inutile d’y aller tant que tous les risques ne sont pas levés. Encore un dernier conseil : ne vous lancez jamais à plusieurs dans un cambriolage. Ça peut paraître rassurant de ne pas être seul, mais je vous le déconseille fortement. C’est déjà compliqué de se gérer soi-même, alors gérer l’imprévisibilité des autres… non merci ! (Il éclate de rire à l’évocation des anecdotes.) Oh vous n’imaginez même pas ce que j’ai déjà pu voir ! Une fois je suis tombé chez un mec qui avait une pièce REMPLIE de goodies à l’effigie de schtroumpfs. Y avait de tout : des lampes, des tasses, des statuettes, des peluches, des tableaux, et même des sextoys. C’était hyper perturbant. J’en avais pris un en souvenir d’ailleurs, sauf qu’après j’en faisais des cauchemars, j’ai fini par devoir le jeter. Sinon plus récemment, je me suis retrouvé face au propriétaire d’un logement que je cambriolais. Il m’a proposé de me laisser emporter un de ses objets de valeur en échange d’un service… disons… graveleux. Je peux vous dire que ça surprend comme offre !

Nameless : Tu fais partie de ceux qui n'aiment pas l'amour depuis ce petit incident qui t'a coûté la mort... Heureusement, ma douce et tendre t'a permis d'avoir un pouvoir qui t'est des plus bénéfiques. Tu détestes donc ceux qui sont tout mielleux et fleur bleu, si je peux me permettre j'ai l'impression que tu en es jaloux au fond. Nous cacherais-tu une petite âme sensible ? Dis nous tout, quel est ta vie de rêve, marié avec un bel homme, plein d'enfants ?

Julian : (Il roule des yeux d’un air à peine exagéré.) Jaloux des gens qui vivent dans le déni ? Pas tellement non, mais je comprends la méprise. Vous connaissez le film « The Truman Show » ? Bon ben c’est un peu pareil : une fois que l’on sait ce qu’il y a derrière les faux semblants, les jolis mots creux, les paillettes et la poudre aux yeux, on ne peut pas vraiment envier ceux qui y croient encore dur comme fer. Si je préférerais vivre dans l’ignorance ? Dur à dire. On dit bien « heureux les ignorants ». Après… je me dis qu’au moins maintenant, je sais à quoi m’en tenir, je sais qu’on naît seul et qu’on avance seul. Ça n’a rien de triste par ailleurs. Alors ma vie de rêves… Vous allez me trouver niais, mais rendre heureux les gens qui me sont précieux, c’est un peu ma vision du bonheur. Quand on n’est pas en couple, on a plus de temps pour sa famille ou ses amis. Mes petits frères sont loin mais ça ne m’empêche pas de prendre soin d’eux, et mon meilleur ami ne se plaint pas non plus du temps que j’ai à lui consacrer. Et puis bon, je ne vois pas comment on peut être malheureux en goûtant non pas à un unique délice, mais à tous ceux qui se présentent à nous, c’est beaucoup plus excitant. Et pour les enfants, clairement, non. Je n’suis pas à l’aise avec ces bêbêtes là...

Nameless : Continuant sur l'amour, j'aime te taquiner avec ça. Je vois que malgré ça, tu aimes avoir quelques aventures, des coups d'un soir, soyons honnêtes. Actuellement je vois que c'est Zyed Andronikov qui a l'air d'être bien intéressé par toi, mais du coup je me demandais... Quel est ton style de mec ? J'ai bien envie de dire qu'entre Zyed et Anael, il y a tout qui change. Allez, dis moi tout je vais trouver ton bonheur tu peux compter sur moi.

Julian : (Il esquisse un petit sourire taquin.) Maiiiis vous avez raison mon petit Nameless : je bouffe effectivement à tous les râteliers, pardonnez l’expression. D’ailleurs vous êtes libre après l’interview ? (Il lâche un petit rire avant de retrouver un semblant de sérieux.) Non blague à part… C’est vrai que je n’ai jamais eu un type particulier de mec, et d’ailleurs si on compare tous mes exs, on peut faire un plateau de Qui est-ce avec tellement ils diffèrent les uns des autres. La beauté physique pure et dure n’a pas d’effet sur moi. Mettez moi Mister Univers en photo que je ne ressentirais rien du tout. Non en fait ce qui m’a attiré chez tous mes exs et qui m’attirent encore aujourd’hui, c’est ce qu’ils dégagent. Par exemple chez Anael, ce sont ses yeux qui m’ont scotché sur place la première fois. On a l’impression qu’il vous possède quand il vous regarde. Zyed, c’était sa façon de rougir, beaucoup trop adorable. Alors vous voyez, le déclencheur peut prendre bien des formes : Un sourire, un regard, une intonation de leur voix, un geste qu’ils ont eu à un jour, un moment, un rire ou même un froncement de sourcil. Impossible à prédire du coup, je vous souhaite bon courage pour trouver LE candidat parfait avec des critères aussi flous (Il ponctue sa phrase d’un petit sourire de défi.)

Nameless : Pour finir, j'ai envie d'avoir ton avis sur ces retrouvailles avec Anael. Explique nous tout, raconte moi tout j'adore les ragots. J'imagine que tu ne t'imaginais pas de le revoir aujourd'hui ? Quoi que... Si tu avais vraiment envie de ne plus avoir de contact avec lui tu serais allé vivre aux Bahamas. Dis moi donc le fond de ta pensée... J'ai envie de croire que malgré tout le mal qu'il t'a fait tu pensais encore à lui.

Julian : (Il grimace et se pince l’arrête du nez entre son index et son pouce.) Arg… me parlez pas de cette histoire… (Il soupire avant de froncer un peu les sourcils.) Vous savez, Anael et moi on habitait au Canada, donc techniquement les Bahamas ce n’est pas siiiiii loin. Non franchement en changeant de continent et en débarquant dans une ville un peu paumée du Royaume-Uni -déso ma petite Niflheim… mais c’est vrai !- je pensais VRAIMENT ne jamais le revoir. J’ai cru que j’hallucinais au début quand je l’ai vu dans mon café. J’prends pas de drogue, mais là je me suis vraiment demandé si Benji avait foutu un truc bizarre dans mon café. Et évidemment que je pensais encore à lui… On n’oublie pas l’homme avec qui on a vécu heureux comme ça. On n’oublie pas non plus son meurtrier -enfin la majorité des gens n’ont pas ce problème pour sûr. J’avoue que ce n’est pas évident. On dit souvent que le corps se souvient, et c’est terriblement vrai. Mes bras ont pris l’habitude de le serrer, quand je l’ai vu, au milieu de toute ma colère, j’ai cru qu’ils allaient l’encercler et le serrer contre moi bien malgré moi. (Il marque une courte pause, l’air pensif, comme s’il revivait la scène.) C’est terrible car à côté de ça, il a brisé tellement de choses en moi que j’avais aussi furieusement envie de lui refaire le portrait. Et ça, c’est pas rien. Je suis contre la violence, de base, mais mon instinct n’avait pas l’air d’accord avec moi sur ce coup. Après la confrontation, Percy a dû me ramasser à la petite cuillère. J’ai donné le change au début, mais quand on a abordé le sujet j’en menais vraiment pas large. Alors voilà… je n’ai pas la moindre idée de comment ça va évoluer tout ça… Je ne sais même pas si je peux continuer à vivre sans virer complètement fou en le sachant dans les parages. J’imagine que l’avenir nous le dira ?