Baylen Wells ~ Il est temps de remettre les pendules à l'heure...
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Baylen Wells
Human
Lun 24 Juin - 12:15
Baylen Wells
I get jealous but I'm too cool to admit it.
Nom : Wells Prénom : Baylen Surnom : Bay, Bayli Âge : 23 ans (17 octobre 1995)
Origine(s) : Américain, originaire de Boston, quelques lointaines origines brésiliennes Métier : Apprenti horloger Groupe : Humain
►►
Mon pseudo sur le net : Je crois que c’est Gareth Âge : 35-8-4 ans
Présence sur le forum : 7 / 7 jours Que pensez-vous du forum : Je l’aime p- Non sinon Oli va me taper ! Je le n’aime
Le personnage sur mon avatar est : Aomine Daiki de Kuroko no Basket Le code est :
Caractère
Comprendre Baylen demanderait de pouvoir l’analyser sous toutes les coutures. Rare étaient ceux qui parvenaient à en être assez proches pour connaître son vrai visage. Celui d’un opportuniste endurci, à qui se mettre à genoux, menacer, se rabaisser aux pleurnicheries, voire même devenir violent, ne faisait pas peur, tant qu’il parvenait à ses fins. Vous seriez étonné si vous le croisiez un jour à dévoiler ses faiblesses, pour le voir le lendemain, laisser place à son esprit vengeur et rancunier. L’Américain savait jouer sur une multitude de tableaux et ne s’en cachait que des bonnes personnes. Flatter ses interlocuteurs en les brossant dans le sens du poil était un exercice auquel il excellait et prenait part régulièrement. C’en devenait littéralement une habitude dont le brun ne pouvait se défaire.
Nous avons parlé de violence un peu plus haut, sachez qu’il arrive à Baylen d’avoir des excès de colère par moment. Elle ne faisait surface que lorsque le jeune homme avait épuisé bon nombre de ses cartes, sans parvenir à ses fins, mais ne restait pas moins assez impressionnante pour choquer. D’autant plus lorsque l’on était habitué à son air calme et aimable ainsi que ses bonnes manières. Bonnes manières qui avaient la fâcheuse tendance de faire mouche auprès des familles de ses petits-amis passés, soit dit en passant.
Non, le brun n’aimait pas montrer cette facette de sa personnalité. Il la jugeait nuisible pour son image et ne l’utilisait qu’en dernier recours. La majorité des agissements de Baylen était calculée, y compris lorsqu’il venait vers vous la tête basse pour s’excuser platement. Tout était bon pour redorer cette image qu’il chérissait tant. Rien ne vous garantissait cependant de ne plus vous trouver sous ses foudres quelques temps plus tard. Baylen était un manipulateur et prenait grand soin à le dissimuler derrière ses belles paroles. Il n’avait aucune honte à revenir vers vous la queue entre les jambes, s’il estimait pouvoir en retirer quelque chose sur le long terme.
Le fonctionnement de l’apprenti ne permettait un quelconque écart que ce soit. Ou vous étiez de son côté ou vous vous dressiez contre lui, le juste milieu ne faisait pas partie de son vocabulaire. Et par-dessus tout, Baylen ne se gênerait absolument pas pour vous le faire savoir tout en subtilité. Quitte à vous faire changer d’avis s’il y parvenait, vous faire comprendre que vous aviez tort et qu’il était tout à fait dans son bon droit.
En somme, l’Américain était un pervers narcissique, pour lequel absolument tout lui semblait dû. De l’amour de ses parents au dévouement de son ex petit-ami Renzo. Celui-ci, il l’aimait profondément, bien que l’on puisse se questionner sur le bienfondé de ce sentiment. Les raisons pour lesquelles Baylen était à ce point attaché au basketteur n’était claires que pour lui-même. Le brésilien d’origine avait tout simplement décidé que pour que le tableau de sa vie soit parfait, Renzo devait s’y trouver au premier plan à ses côtés. Et déroger à cette règle qu’il avait bâti de toutes pièces, avait le don de faire ressortir son impulsivité latente.
Physique
Ce qu’on ne pouvait rater en regardant Baylen, étaient ses deux orbes bleu nuit qui nous fixaient aimablement. Facilement mis en valeur grâce à sa peau bronzée rappelant ses origines brésiliennes, Baylen avait tout d’un jeune homme séduisant. Ses cheveux légèrement en bataille apportaient une touche un peu sauvage à son portrait. Ils étaient épais et paraissaient assez doux pour avoir envie d’y glisser les doigts, l’apprenti horloger en prenant grand soin.
Si l’on s’attardait sur le reste de son anatomie, on pouvait remarquer une fine mais néanmoins bien présente, musculature sous ses vêtements. Baylen n’avait pas toujours été aussi bien bâtit. Plus jeune durant l’adolescence, il était même qualifié d’un peu maigrichon sans pour autant atteindre ce stade sur la balance. Aujourd’hui, ses muscles étaient en parfaite harmonie avec sa taille, un mètre quatre-vingts, pas un centimètre de plus. Cette taille, il avait appris à la détester en face de Renzo, qui culminait déjà proche du mètre quatre-vingt-dix alors qu’ils étaient encore au lycée. Lorsque l’Argentin d’origine l’avait quitté, Baylen avait préféré se dire que sa taille était l’une des raisons de leur rupture, refusant de voir l’absurdité de sa réflexion.
Dans le but de compenser cette taille qui ne lui convenait pas, le ténébreux avait pour habitude de prendre soin de son apparence globale. Il était tout bonnement hors de question de porter des vêtements dépareillés ou trop excentriques, au risque d’être pointé du doigt et détruire cette image parfaite qu’il voulait donner de lui-même. Pour ce faire, Baylen fit l’effort de s’intéresser de plus près à la mode. Bien que son style soit simple, il restait tout de même particulièrement soigné entre ses jeans, polos, t-shirts ou vestes choisis méticuleusement.
Cependant bien s’habiller ne prenait du sens que lorsqu’on adoptait une allure adaptée. Le dos droit, la démarche assurée, l’Américain savait charmer par sa simple présence. Baylen était littéralement propre sur lui. Seule une cicatrice cachée sous son genou droit, vestige de ses escapades à vélo alors qu’il avait cinq ans, avait le don de laisser une petite tâche d’encre sur le tableau. Enfin, bien qu’il ne soit pas très porté sur les bijoux, le bronzé arborait fièrement une montre fabriquée par ses soins lors de ses apprentissages. Son cou était également orné d’une chaîne d’argent d’où pendait une bague ô combien symbolique.
Histoire
Dans une des rares familles sur Terre encore composées d’un père et d’une mère, je suis né. Dès mon plus jeune âge j’ai été habitué à cette attention constante qu’on m’octroyait. Cadet de trois frères, j’étais littéralement le chouchou de mes parents, et le vivait bien. Aussi dès lors que mon père eut divorcé de ma mère deux ans plus tard, je fus trop jeune pour en comprendre les raisons, mais pas pour ressentir ce vide. Mon père, responsable commercial ayant une meilleure situation financière que ma mère, petite assistante juridique, obtint notre garde. Mais je ne compris rien de cela, tout ce qui me torturait était le manque maternel. Celui de ses deux bras, à l’appel pour m’entourer chaque fois que j’en éprouvais le besoin, ou pas d’ailleurs, au gré de mes caprices. Pourquoi cette femme avait-elle subitement disparu de mon quotidien, mon père eut beaucoup de mal à me l’expliquer. Jusqu’à l’âge de cinq ans, je devins quelque peu insupportable, le pédiatre expliquait habilement cela par ce bouleversement que je n’étais pas apte à enregistrer. Ça passerait en grandissant, disait-il, il n’eut pas tout à fait tort.
Mon père rencontra un homme trois ans plus tard. J’avais eu du mal à accepter qu’il partage son temps entre mes frères, moi et lui au début. Seulement il avait su nous accepter et grâce à lui je retrouvais cette présence qui m’avait été arrachée. Tout était redevenu, de mon point de vue de gamin, comme il se devait. En tant que petit dernier je ne manquais de rien, un enfant pourri gâté, c’était bien ce que j’étais à cet âge, pourquoi serais-je autre chose ? J’avais enfin retrouvé l’équilibre qui m’épanouissait mais il fallut qu’un nouvel évènement vienne tout gâcher, encore ! Une petite sœur... Qu’est-ce que je pouvais bien faire d’une petite sœur ? N’en avaient-ils pas déjà assez à faire avec moi ? Ça allait recommencer... Et le vide revint lorsque mes deux pères estimèrent que j’étais assez grand pour ne plus être chouchouté par eux. C’était à moi d’en décider de ça, je ne voulais pas de cette fille qui me volait mes parents !
J’avais tout essayé pour retrouver leur attention, grâce à leurs yeux ! Être le plus serviable possible, avoir les meilleures notes possibles, j’avais même tenté de jouer régulièrement avec ma petite sœur même si ça m’ennuyait à mourir, mais rien, rien d’autre que des « C’est bien Baylen. », des mots qui n’avaient plus aucun sens tant ils étaient prononcés par défaut ! Durant toutes ces années, malgré la rancœur que j’éprouvais envers ma cadette, j’avais toujours fait en sorte de garder de bon rapport avec elle. Si c’était un moyen de toujours avoir l’œil bienveillant de mes parents posé sur moi, alors soit. Pour dire vrai, mon aversion envers elle n’avait aucun lien avec son caractère, être agréable en sa présence ne me demandait pas un grand effort. Mais si tu savais, si tu savais comme parfois je te déteste petite sœur... Ma rancune était trop tenace pour s’évaporer devant les sourires que tu me lançais.
Ma mère s’était éloignée de nous, de moi, avait préféré un autre homme à notre belle famille... A présent je passais encore après tout le reste, à cause de toi. Je m’étais fais une promesse, plus jamais je ne passerais après qui que ce soit. Peu importait ce qu’il me faudrait faire pour attirer les regards, pour que plus jamais on ne me néglige. Personne ne voyait les efforts que cela demandait.
Pas même toi, Renzo. Tu ne voyais pas tous les efforts que je faisais pour t’apporter le meilleur. J’étais là, pourquoi chercher d’autres compagnies ? Le jour où je t’ai vu sur ce terrain de basket, j’ai su que je voulais t’avoir pour moi. Toi, un garçon beau, populaire, rieur, dynamique, à côté de moi, nous ne pouvions que former le couple parfait. Chaque fois je devais te le faire comprendre, te ramener à la réalité qui était la nôtre, tu n’avais besoin de personne d’autre que moi. J’avais assez partagé pour qu’on m’arrache ce qui m’appartenait, ça ne recommencerait pas. Ces bagues à nos cous représentaient le lien qui nous unissait et par moment j’avais l’impression que tu tentais de t’en soustraire. N’étais-je donc pas assez bien pour toi non plus ?
Je me souvenais pourtant des débuts de notre relation, ils étaient parfaits. Toi qui m’adulais, ne voyais que par moi, buvais même mes paroles. Un mec comme toi avait eu du mal à comprendre que tu puisses m’intéresser et pourtant, tu étais la moitié qu’il me fallait. Bien entendu tes soi-disant amis avaient tenté maintes fois de se mettre entre nous, de la jalousie pure. Mais jamais tu ne t’étais rangé de leur côté, petit à petit ce fut nous contre ces imbéciles. Petit à petit j’étais parvenu à t’arracher de ce groupe insignifiant, pour que l’on se concentre sur nous et uniquement cela. Or aujourd’hui, le doute s’était installé dans ma tête, ces types revenaient à la charge pour te récupérer...
J’avais besoin de m’en assurer, que tu ne me trahirais pas. C’était le jour de l’anniversaire de ton meilleur ami. Je ne comprenais pas bien ce que tu pouvais lui trouver que je n’apportais pas, mais soit. Dans le but de te tester, je prétextais être malade, en cette journée si spéciale pour toi. J’espérais grandement qu’elle ne le soit pas plus que moi à tes yeux. Une toux quelque peu exagérée, une voix rendue rauque par une grippe imaginaire, et te voilà près de moi, comme il se doit. Il n’y avait qu’en te sachant dans mes bras que mon monde était parfait, ne t’éloigne jamais de moi Renzo...
Je savais que tu m’aimais, je le voyais dans tes yeux, mais je devais protéger cette flamme qui y dansait pour qu’elle ne tarisse jamais, moi seul devait pouvoir la nourrir. Jamais je ne m’étais rendu compte que je t’enfermais, t’étouffais, te privais de ton entourage. Pour moi ce dernier n’était qu’un obstacle à notre bonheur, du superflu, ils finiraient bien par te lâcher comme on m’avait lâché. C’était ce que je voulais t’épargner, jamais je ne t’abandonnerais, contrairement à tous ces gens qui te promettaient leur pseudo amitié indéfectible. Il a bien fallu que tu rates un stupide anniversaire pour qu’on t’en veuille, juste ça, juste une faute et voilà qu’on te pointait du doigt. Mon argument aurait pu se retourner contre moi, si je ne savais pas manier les mots pour les graver au fond de ton crâne. Ma jalousie était justifiée, tu n’appartenais qu’à une seule personne.
Alors que l’on était tranquillement allongés sur ton lit, je comptais bien te le faire comprendre ! Les 80 ans de tes grands-parents, tu aurais pu m’en parler ! Étais-ce volontaire de ta part ?
« Pourquoi tu ne m’as rien dit, j’aurai pu t’accompagner, ou alors tu ne me fais pas assez confiance pour me présenter ?! C’est ça hein ? »
Non ce n’était pas ça, c’était ce que tu t’évertuais à me répéter inlassablement, mais je n’en croyais pas un mot ! Il n’y avait aucune raison valable au fait que tu veuilles t’éloigner de moi pour plusieurs jours, si ce n’était celle de vouloir me fuir.
« C’est ta famille ou moi, Renzo. »
Et tu l’avais choisi. Tu avais osé me faire passer au second plan. Tu devais payer pour ça, pour avoir balayé aussi vite ce qu’on avait construit tous les deux. J’avais donc raison, tu avais voulu te détacher de moi, j’en étais certain. Pourquoi, pourquoi fallait-il toujours que le même schéma se répète... J’étais trop en colère contre toi pour réfléchir à la question de manière rationnelle. T’humilier était mon seul exutoire, la seule punition que tu méritais. Prit d’une rage folle j’avais imprimé toutes les photos compromettantes de toi pour les placarder sur le plus de murs possibles au lycée. J’avais choisi les quelques minutes avant la fermeture, caché sous une écharpe et une large capuche, les mains gantées. Sur les réseaux sociaux, les vidéos de toi étaient vues et revues. Je n’avais pas pensé aux conséquences d’un tel acte, à vrai dire je m’en fichais éperdument tant que tu souffrais autant que moi. Seul ton meilleur ami pot de colle Ethan était parvenu à te convaincre de surpasser ta honte pour passer tes examens...
Bien que mes rapports avec ma mère ne soient pas des plus chaleureux, car je lui en voulais toujours de m’avoir abandonné, elle s’évertua à s’assurer que l’on ne pourrait pas remonter à moi, dès qu’elle sut que tes parents avaient porté plainte. Ça servait d’être devenue juge pour enfants après toutes ces années et d’avoir des relations... Tous les jours elle s’occupait de cas de d’autres gamins, au lieu de s’occuper du sien comme elle aurait dû le faire auparavant. Est-ce que son métier lui servait de compensation ? Je ne voulais pas savoir la réponse. Grâce à elle néanmoins, on ne put retrouver le coupable que j’étais et l’enquête fut classée sans suite. Entre temps, ce que je désirais tant arriva, tu perdis tous ces faux-amis qui t’entouraient lors de cette affaire, et j’étais persuadé qu’un jour tu me reviendrais. Qu’importe le temps que cela prendrait, j’avais besoin de toi pour que tout soit parfait.
Mais tu ne revins pas. Des années passèrent et je ne parvins pas à te sortir de mes pensées. Par fierté je dirais que c’était parce que je n’acceptais pas l’idée que tu puisses m’avoir oublié si facilement. La vérité était que tu comptais bien trop dans ma vie pour que je t’efface. Je voulais de nouveau que tes yeux se posent sur moi comme si j’étais le seul homme qui comptait pour toi, je voulais être important pour toi, puisque je ne l’étais plus pour mes parents. Il n’y avait rien à faire, aucune de mes conquêtes n’avaient cette passion qui vibrait jadis dans ton regard chaque fois que tu le posais sur moi, et aucune ne réveillait la mienne. Te retrouver à défaut de pouvoir t’oublier, devint mon nouvel objectif. A tout prix, je voulais te revoir et recoller les morceaux, parce que les choses se devaient d’être ainsi.
Après maintes recherches, je te trouvais enfin. Toi qui m’avais bloqué de tous les côtés, ce ne fut pas une tâche facile. Tu n’avais aucune idée d’à quel point ce pouvait être blessant n’est-ce-pas ? C’était donc en Angleterre que tu avais décidé de te cacher, si loin... En mars 2018 je posais enfin le pied à Niflheim. Bien que mon départ fût expressément motivé par nos retrouvailles, je ne pouvais mettre mes études de côté pour tes beaux yeux. Je trouvais un horloger qui accepta de me recruter et devint par conséquent son apprenti. Une fois la routine engagée, je repris mes recherches jusqu’à toi.
Bien sûr, il était hors de question de me planter devant tes yeux, à peine arrivé, non. Il me fallait apprendre à te connaître de nouveau. Le basket faisait toujours partie intégrante de ta vie, voilà une chose qui n’avait pas changé chez toi. Et si là, maintenant, nous rembobinions le temps et nous rencontrions une nouvelle fois près d’un terrain... L’envie me torturait mais je ne devais pas brusquer les choses. Voir la bague que je t’avais offerte toujours à ton cou me donna une lueur d’espoir. Il fallait croire que tu ne m’avais pas tout à fait oublié. Voilà l’emprise que tes sentiments pour moi exerçaient encore.
Mais non, le temps passait et au lieu de me bouger pour aller à ta rencontre, j’attendais encore, cherchais encore le meilleur moyen de te faire de nouveau tomber dans mes bras. Je te montrerais comme j’avais changé. Seulement avant que je ne puisse essayer quoi que ce soit, tu t’entichas de ce blond au langage grossier. Ne voyais-tu donc pas qu’il ne m’arrivait pas à la cheville ? Tu étais tombé bien bas Renzo, il était temps que tu reprennes de la hauteur, et ce ne serait avec personne d’autre que moi.
Invité
Invité
Lun 24 Juin - 12:23
Rebienvenue à toi ! Tu l'as enfin fait ce TC !! BRAVO !!!
✗ Fiche
✗ Liens Messages : 545 Métier : Etudiant en M1 de STAPS Pouvoir : Absorption: copie les pouvoirs des Reload et récupères les souvenirs des humains
Renzo Lawrence
R:Divers
Lun 24 Juin - 12:40
Dégage, je veux pas de toi
Spoiler:
Nan, en vrai je suis évidemment content de te voir Va y avoir du dramaaaaaaaa
Love sur toi
Messages : 15
Baylen Wells
Human
Lun 24 Juin - 12:44
Merci Jasper ! Et oui ENFIN Toi au moins t'as la classe, pas comme l'autre machin blond la
MAIS RENZOOOOO ! Tu sais qu'on est fait l'unpour l'autre
J'ai trop hâte du dramaaaaa !
Invité
Invité
Lun 24 Juin - 13:30
En ce moment je regarde KNB sur Netflix (pour la deuxième fois). Et genre, Aomine me fait vraiment de l'effet sévère. Voilà, fallait que je dise que c'était un bon choix d'avatar.
Bon TC du coup a ce que j'ai compris :3
P.S.: on le surnomme pas Baelish? Je suis déçue :< :huhu:
Invité
Invité
Lun 24 Juin - 13:51
HEY HEY BALEINE
*est loin*
Invité
Invité
Lun 24 Juin - 16:33
Re-bienvenue!!
Et si je comprends bien, ce charmant garçon va apporter du drama... c'est cool le drama
Invité
Invité
Lun 24 Juin - 17:04
Coucou toi et re re re bienvenu à toi pour ce TC Pas mal pas mal ce petit caractère Et du coup, j'ai l'impression que ta fiche est terminée donc bon, pas bon courage 8D
Des bi'ous
Présentation Récap' Chrono' Messages : 715 Localisation : Bijouterie - The Glow Métier : Bijoutier Pouvoir : Manipulation des peurs Double(s) compte(s) : Nolan Redfield, Baylen Wells
Gareth Nightingal
Moi c'est Gaufrette, trempez-moi dans du lait
Lun 24 Juin - 17:21
(Oui c'est moi j'ai posté sans changer de compte )
Merci beaucoup à vous tous vous êtes gentils
Et non on l'appelle pas Bealish et encore moins BALEINE ! Non mais !
Je suis en effet là pour du drama les amis, j'ai signé pour ça
❧ Fiche
❧ Liens
❧ R.P.s et chronologie
❧ Aesthetics
❧ Galerie graphisme Messages : 2134 Localisation : Paumé dans un bar random. Métier : Barman. Pouvoir : Augmentation de taille (PROVISOIRE ; EVENT 3 ANS) Humeur : Imbécile heureux.
Double(s) compte(s) : Eugène O'Sullivan
Dimitri Astier
Human
Lun 24 Juin - 17:44
ENCORE UN AGENT DOUBLE ; ILS NOUS ENVAHISSENT !
Plus sérieusement, bienvenue de nouveau Gareth ! Oh, j'ai entendu qu'on parlait de drama ? Le drama, c'est cool. Surtout quand ça fini dans les larmes et les quiproquos du feu de Dieu . En tout cas, j'espère que tu vas t'amuser, avec ce p'tit gars !
Ça par exemple, voilà le brouillon avant la perfection !
C'est sympa d'être venu, vraiment, merci d'avoir fait déplacement, c'est juste dommage qu'on n'ait pas besoin de toi enfin, avec un peu de chance t'arriveras peut-être à te faire un ami ou deux pour oublier que Renzo t'a largué comme un vieux slip et qu'il est beaucoup plus heureux sans toi aujourd'hui
Spoiler:
GNIIIIIIIIIIIHI ! Depuis le temps qu'on t'attendait, on va bien s'amuser maintenant que t'es là >w< J'espère que tu seras validé vite
Invité
Invité
Lun 24 Juin - 20:18
Re-bienvenue !
Merci de m'apporter du futur drama à lire Bon courage pour ta fiche
Messages : 15
Baylen Wells
Human
Lun 24 Juin - 22:06
Ohlala mais merci vous êtes trop choupiiis J'espère que le drama vous plaira
Stefan, notre grossier personnage... On va régler nos différents ne t'inquiètes pas, tu as assez profité de ce qui ne t'appartiens pas On va trop faire les fous ça va être trop bien !
Messages : 207 Métier : Etudiant/travail au zoo Pouvoir : Contrôle de la nature Double(s) compte(s) : Gabriel Bishop/Rain Lowell/Ezra Kamira
Newén Flores
R:Element
Mar 25 Juin - 23:02
Tu es validé ! Bravo !
Rebienvenue parmi nous petit scarabée o/ J'ai beaucoup aimé lire ta fiche et découvrir ton personnage x) Ezra va être raaaaaavi de l'accueillir dans sa boutique :')
• Tu peux dans un premier temps recenser ton avatar (et ton pouvoir si tu en as un), c'est très important ; • Tu peux faire une demande d'habitation et/ou de lieu spécial si tu souhaites que ton personnage possède un endroit bien à lui; • Et tu peux maintenant t'occuper de tes Rps, liens et autres carnets de bord dans cette section du forum !
Et surtout n'oublie pas de venir passer un coucou sur la ChatBox ! Amuses-toi bien parmi nous, au plaisir de te voir sur le forum !
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