La pluie ou le beaau temps?

Reita Leigh

“All violence is the result of people tricking themselves into believing that their pain derives from other people and that consequently those people deserve to be punished.”

Calme : m'énerver ? Moi ? Jamais... Je reste calme dans toutes les situations mais attention, ce n'est pas pour autant qu'il faut me pousser. La corde peut lâcher et je pense que vous ne voulez pas voir ça

Patient : Quoi qu'il arrive je reste toujours patient. Cela paie souvent et je suis souvent respecté, que ce soit avec mes amis ou les gens qui m'entoure.

Romantique : cette qualité se perd de nos jours, enfin c'est ce que je ressens. Un chandelier sur une table pour deux avec lumière tamisée, un bon petit repas et faire plaisir à sa moitié. J'adore ça

A l'écoute : encore une fois c'est ce qu'un futur psy doit avoir dans sa boîte à qualité. Mais c'est aussi une bonne qualité pour écouter les gens, en apprendre plus sur eux, écouter leurs problèmes... Ce que j'aime faire.

Doux : cette qualité s'associe au romantisme non ? En tout cas pour moi oui ! Dans l'intimité j'aime beaucoup prendre le temps avec ma moitié.


Défauts :
Colérique : ce n'est pas parce que je suis patient qu'il faut me prendre pour la bonne poire ! Il y a un moment où je peux craquer et dans ce cas... Allez vous cacher ! Ce défaut m'a longtemps posé problème lorsque je ne contrôlais pas mon pouvoir mais à présent que je le contrôle je n'ai plus de soucis. Enfin je dis ça mais c'est juste pour dire que je ne fais plus d'orage tonitruant.

Angoissé : il est que je suis assez angoissé, par tout et n'importe quoi, je prends d'ailleurs des anxiolytiques pour ça

Rancunier : tu me blesses ? J'ai beau être doux, je te rendrais toujours la monnaie de ta pièce. La vengeance est un plat qui se mange froid. Glacé même.  

Jaloux : Oui oui c'est un défaut assez courant et je sais tout à fait que je le suis. Cela s'applique à tout mon entourage mais attention ! Je suis jaloux certes mais je ne suis pas non plus un pot de colle.

Stricte : beaucoup disent que c'est un défaut, même si je ne trouve pas je le mettrai à cette place donc.

Impassible : vous voyez toutes les qualités que je vous ai nommé ? N'attendez pas de les voir chez moi. Il faut bien me connaître, avoir brisé ma carapace. Je n'aime pas montrer mes qualités, mais je n'aime pas montrer mes défauts non plus. Je reste juste de marbre lorsque je suis avec du monde. Comme si je ne ressentais jamais aucuns sentiments.

Commençons tout d'abord par mes cheveux qui sont noir de jais, j'ai une petit queue de cheval qui m'arrive un peu en dessous des épaules et le devant part en dégrader qui retombe devant un visage beau mais barré d'une « cicatrice » suite à la bagarre qui a causé ma mort. j'ai les yeux marron avec de léger pigments rouges. J'ai  un torse et des bras musclé, d'ailleurs en parlant de ça... J'ai un tatouage tribal sur tout le bras droit et le pectoral/ventre droit. J'en suis assez fier et ne craint ps les tatouages donc je compte bien m'en refaire un sous peu. Un rouge qui représente des fleurs rouges du côté droit du dos. En parlant de lui on voit bien les muscles dessiné comme sur mon avant. Pectoraux et abdominaux très bien visible. Je me demande encore comment j'ai pu mourir dans cette ruelle avec mes muscles. J'aurai pu m'en sortir, si seulement ils ne s'y été pas pris à trois, m'enfin bon c'était la vie. Côté vestimentaire je suis toujours affublé d'un kimono rouge foncé avec un pantalon large noir en dessous. Je respecte trop mon côté japonais pour le repousser. C'est un cadeau qu'elle avait offert à mon père et à présent il était mien. Oh certes lorsqu'il pleuvait je ne le mettais pas mais lors des beaux jours je ne le quittais plus et cela faisait plaisir à mes parents. Sinon que dire ? Je mesure un mètre quatre vingt six pour un poids de quatre vingt kilos. En particulier du muscle car je mange rarement gras et je fais souvent du sport. Minimum deux fois par semaine. Que dire de plus ? Je suis comme je suis, on me prends ainsi ou on passe outre. Je n'ai jamais forcé quelqu'un à aimer mon corps, au contraire je m'en fiche totalement. Autre petit détails que j'aime beaucoup sur moi est que je suis totalement imberbe, sauf au niveau chevelure et aux yeux, j'aime d'ailleurs beaucoup les gens qui sont ainsi, enfin... Qui se rasent quoi.

J'ai toujours grandi dans une famille aisée. En effet je fais parti d'une petite noblesse en Angleterre  donc j'ai très vite appris les bonnes manières, les règles de bienséance. Mon éducation fut stricte mais sans manquer d'amour. Ma mère,Airi et mon père William ont tout fait pour que je me sente aimé et poli ce qui a très bien marché. J'étais gâté mais pas assez pour que j'en redemande trop, juste ce qu'il fallait. J'ai toujours été éduqué dans le domaine privé, une formation stricte encore un peu plus poussée mais ça ne me dérangeait pas. J'avais de bonnes notes à l'école, toujours le premier. Ce qui me fit sauter une classe. Mes parents était fiers de moi et savaient que j'allais avoir une longue et belle carrière, de quoi ? Je ne savais pas encore quoi mais je trouverai bien, j'avais onze ans à cette époque, j'ai trouvé ma voie à mes quatorze ans. Mais bref. Tous ce passait bien dans ma famille, nous étions heureux et voyagions beaucoup dans les autres pays lorsque j'étais en vacances. Mais, notre famille ne s'attendait pas à ça lorsque nous étions à Oslo.
Ma mère commença à se sentir mal donc nous étions vite revenu à Londres pour lui faire passer des tests et le résultats tomba. Elle était atteinte du virus que la plupart des femmes contractaient dans le monde.  Nous avons donc veillés à son chevet jusqu'à sa mort , j'étais alors âgé d'à peine seize ans. Et puis fatigués et anéantis nous partions donc en direction de Niflheim pour nous changer les idées, recommencer une nouvelle vie. Ce fut dur mais petit à petit nous nous remettions sur pieds, c'est alors que mon père se remaria à un homme très gentil. Même si je n'aimais pas que William se remarie je ne pouvais pas nier que je n'aimais pas le père qui remplaçait ma mère.  Je me souviens que c'était lui qui m'avait ramassé devant la porte de notre maison totalement bourré, ce soir là il avait encore plus pris soin de moi, même s'il était bien amusé de la situation. C'est aussi lui qui su en premier que je fumais et il alla donc tâter le terrain pour voir la réaction de mon père qui fut, heureusement, moins grave que je ne le pensais.
J'avais à présent dix sept ans et j'avais mon bac, je savais exactement ce que je voulais faire : psychiatre. Aider les autres, j'adorai ça... De mes dix sept ans à mes dix huit ans je restais à la maison familiale puis un beau jour dans l'année de mes dix huit ans mes parents me dirent de prendre mon envole, pas sans rien, ils ne voulaient pas me laisser sans surveillance. C'est donc pour ça qu'ils me prirent un appartement de quarante mètre carré. Vous imaginez ?! A dix huit ans avoir un tel appart' ? On m'appelait souvent le fils à papa pour cette raison d'ailleurs. En attendant tous les étés je travaillais pour me faire plaisir, c'est alors que peu à peu vinrent se dessiner sur ma peau quelques dessins en tout genre. Puis j'allais à la salle de sport en dehors de mes heures d'études, beaucoup, et je dois dire que ça se voyait mais personne n'est immortel malgré sa force. C'est lors d'une bagarre que je fus tabassé à mort. Enfin à mort, l'espace de quelques minutes seulement. J'étais dans une pièce sombre et une drôle de chose apparue devant moi, un crâne de je ne sais quoi enroulé dans un drap noir. Il m'expliqua alors que j'allais revenir avec un cadeau sur terre et qu'à présent j'étais un reload. Un quoi ? Je n'en su pas plus et me réveillais en sang dans une petite ruelle. Quel cadeau pouvait avoir m'offert cette bête ? Qu'est ce qu'un reload ?Quoiqu'il en soit je continuais ma vie, bien que marqué à vie par une cicatrice sur le visage que mes agresseurs m'avait "offert" Mais quelque chose me paraissait un peu bizarre. Alors que j'étais sur ma terrasse pour me détendre il y avait quelques nuages et je soupirai du temps alors je m'imaginais un peu de soleil. C'est ainsi qu'un soleil apparu et les nuages... Disparus. Cela dit juste après je sentis une sorte d'insolation venir. Quoi qu'il en soit je ne m'inquiétais pas vraiment. Ce fut dans l'année de mes vingt et un ans que tout bascula. Un homme avait trop tiré sur la corde de ma patience et ma colère fut terrible. Un orage apparu au loin et je me sentis mal jusqu'à vomir, puis l'orage s'arrêta, à présent je savais que je contrôlais (peut être?) la météo. Je retentais pendant tout une année ce « pouvoir » jusqu'à le maîtriser parfaitement. A présent je faisais vraiment attention surtout à cause des effets secondaires que m'octroyait ce pouvoir