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Green is the new black ✝ Eugène [terminé]

Eugène O'Sullivan
R:Physic
Le pain et le vin

Fiche
Liens
R.P.s et chronologie
Aesthetics
Galerie graphisme
Messages : 89
Localisation : Au Croissant de lune.
Métier : Boulanger.
Pouvoir : Souplesse accrue.
Humeur : Simple.

Double(s) compte(s) : Dimitri Astier
Eugène O'Sullivan
R:Physic
Sam 11 Mai - 2:05




 

   
Eugène O'Sullivan

   
On ne peut pas avoir à la fois le pain, l'argent du pain et le boulanger.

 

 
Nom : O'Sullivan.
Prénom : Eugène.
Surnom : Eugie.
Âge : 24 ans.
Plutôt : Seke.

Origines : Irlandaises et françaises.
Métier : Boulanger.
Groupe : Reload (physic).

Pouvoir et description : [SOUPLESSE ACCRUE] — Eugène est dans la capacité de se contorsionner sans aucune difficulté apparente, pouvant prendre plusieurs positions diverses sans ressentir le moindre mal-être. Alors, évidemment, il avait d'abord eu peur, quand il s'en était rendu compte, la première fois que son pouvoir s'était manifesté à lui, un jour, par hasard, sans y être mentalement préparé ; mais il s'était habitué depuis : À être capable de tordre son bras de manière assez catastrophique – qui pourrait presque faire tourner de l’œil certains –, ou à exécuter des positions de yoga qu'il ne pouvait pas faire avant, et que même des professionnels trouverait compliqué voire totalement impossible pour un humain normalement constitué ; ce que Eugène n’était plus vraiment, semblait-il. Il était assez souple de base, sa sœur pouvait en témoigner, mais cette malédiction avait . . . Empiré, ou amélioré selon le point de vue, les choses. Quelque chose de pas très utile, comme cadeau empoisonné du ciel, n'est-ce pas ? Sauf quand, effectivement, on faisait du yoga ; c'était utile. Ou bien des bêtises un peu trop acrobatiques dans les draps, mais ça . . .
Malus : En toute normalité, ce tordre ainsi, cela fait mal ; plus que mal, d'ailleurs . . . Ça pouvait aller jusqu'à se casser un os, et finir couché dans un lit d'hôpital pendant des semaines voire des mois . . . Alors, quand Eugène utilise un peu trop son pouvoir – que cela soit volontaire ou accidentel, son corps ne comprend pas la différence et met les deux cas dans le même panier –, une vive douleur se fait vite sentir dans les zones concernées, là où il a usé de sa malédiction ; dans les parties osseuses, pour être plus précis, en fait. Un sorte d’électrochoc qui le paralyse plus ou moins longtemps sur place, ayant un très grand mal à bouger quelque chose sans crier, ou juste une souffrance constante qui le noie peu à peu, et qui finit souvent par le mettre en position fœtale dans son lit ou son canapé – voire carrément à même le sol quand il n'a pas le choix –, en priant pour que cela passe assez rapidement. Cela dépendait des fois, des cas. Des circonstances. Il sentait ses entrailles envoyer des ondes douloureuses à travers l’entièreté de son être, et ça, malheureusement, il ne pouvait rien y faire. Hormis cesser toute utilisation de son pouvoir, mais seulement, le plus souvent, il ne le faisait pas exprès. Un simple accident qu'il ne pouvait contrôler, quel malheur. Oh, et n'oublions par la cerise sur ce gâteau des Enfers : La circulation sanguine. Croyez-vous sincèrement qu'elle était épargnée de tout ça, alors qu'elle était concernée, dans ces histoires ? Dans ces sessions acrobatiques ? Ce serait une belle erreur de débutant, de votre part. Cela faisait un peu n'importe quoi, là-dedans, quand il se tordait un peu trop, dans tous les sens. Le sang passant alors dans ses veines se bloquait presque, des fois, ayant du mal à continuer sa route normalement ; Eugène devait alors en payer les contre-coups normaux, humains, mais en bien pire à cause de son pouvoir ; comme les vertiges ou les jambes lourdes . . . Encore heureux que ce n'était que dans les cas les plus extrêmes. Bon Dieu, il n'aurait pu supporter ça aussi longtemps si cela avait été tout le temps ça ! C’était une punition, un châtiment divin, pour avoir fait usage de ce don mortel, certes inutile, mais qui lui rendait bien la monnaie de sa pièce dans la figure quand il avait l'audace de le réveiller du plus profond de lui-même. Pouvoir soufflé par le Diable, de surcroît. Quel damné il faisait . . .
Position de la marque et description : Un petit trèfle à quatre feuille d'un noir profond, au-dessus du nombril.
Âge de la mort : 21 ans.
Cause de la mort : Cambriolage qui a mal tourné ; mort de trois balles dans les organes vitaux et d'un coup fatal dans la boîte crânienne.

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Mon pseudo sur le net : Yui Tanaka Lunatoris (Dimitri).
Âge : 16 ans et des brouettes.

Présence sur le forum : 7/7 jours.
Que pensez-vous du forum : J'aime pô Green is the new black ✝ Eugène [terminé] 3708424873

Le personnage sur mon avatar est : Tintin des aventures de Tintin.
Le code est :
sheep in wolf's clothing
Eugène, c'est quelqu’un d'intelligent. Dès son plus jeune âge, il ramenait déjà de très bonnes notes à la maison, dû à son travail et à ses révisions acharnés, pour lesquels il tentait de consacrer la majeure partie de son temps, voulant réussir dans la vie et trouver un travail rémunérant bien, tout en étant quelque chose qu'il aimait faire. Faire de sa passion, son métier ; bien que quand il était gamin, il ne l'avait pas vraiment trouvée – sa passion –, étant quelque peu dispersé dans plusieurs choses à la fois pour y penser concrètement. Ses professeurs faisaient souvent la réflexion, d'ailleurs, à lui comme à ses parents, qu'il était très participatif en classe et que quand il avait faux à une question, il n'allait pas se morfondre dans son coin en se laissant abattre par cet échec, ce que beaucoup d'autres de ses camarades de classe s’obstinaient à faire. Non, il se disait juste que c'était quelque chose qu'il devrait mieux apprendre pour la prochaine fois, et ainsi de suite, à l'infini. Cela a continué ainsi jusqu'aux études supérieures, avec le même manège toujours autant efficace qu'il y a des années déjà. Ne jamais se braquer face à l’erreur, c'était presque devenu un dicton pour lui. Cependant, il n'était pas intelligent que dans ce sens-là du terme, bien entendu : Les techniques de grands-mères et autres astuces avec ce qu'on a sous la main, c'est tout lui ; donner une seconde vie à un objet en changeant totalement sa fonction avec quelques modifications de sa part. Un petit bricoleur à ses heures perdues, on pouvait le dire, bien que dans les faits, il tentait le plus possible de rester loin de marteaux, tournevis, et autres outils assez impressionnants, dangereux. Le roux ne voudrait pas malencontreusement se blesser, avec la peau fragile qu'il avait ; ce serait bête, vous en conviendrez.

Eugène, c'est quelqu'un d'aimable. Toujours un sourire sympathique aux lèvres, un petit mot gentil pendu à sa bouche, un geste réconfortant à n'importe quelle âme en peine ; faisant presque tout dans le respect des choses. C'était vraiment quelqu'un d'agréable à vivre, toute sa famille vous le dira ; en particulier sa très chère sœur, qui n’hésitait pas à vanter ses qualités à sa place ; lui qui est du genre à ne jamais se la raconter ou à vouloir montrer qu'il était fort dans tel domaine, Lucie en prenait les rênes en retroussant sans plus attendre ses manches. L'humilité la plus totale. Outre cela, même avec les personnes qu'il ne tenait pas forcément dans son cœur, il était sympathique avec – quoique, se forçant un peu la main des fois – ; car ils ne méritaient pas ça. Enfin, après, voyez-vous, cela dépend des cas, bien sûr . . .

Eugène, c'est quelqu'un de rancunier. Alors oui, cela pourrait sembler contradictoire, mais . . . Que voulez-vous qu'il y fasse ? Il était ainsi ; et puis, cela fait quelque peu écho à ce qui était dit sur lui il y a quelques lignes. Avec ceux qui finissaient, de manière voulue ou non, dans sa liste noire mentale, il tentait le plus possible de les ignorer pour ne pas à avoir à faussement leur adresser la parole, leur jeter un regard supposé normal alors que non, il était plus neutre qu'autre chose. Cependant, il leur restait courtois, gentil ; une bien belle façade, tiens . . . Eugène ne les méprisait pas néanmoins ! Il veut juste se tenir loin d'eux, pour divers raisons, qui dépendaient donc du pourquoi est-ce qui ne les appréciait pas, ou plus. Également, si les tensions venaient à se calmer et que les deux parties revenaient dans de bons termes, redevenaient des supposés amis, le roux ne pourrait cependant jamais oublier ce qui a été fait par l'autre dans le passé, pour qu'il ne l'apprécie plus tellement que ça à un moment donné. C'est gravé dans sa mémoire, et il ne pouvait y faire grand chose. Ancré dans ses gènes, c’était.

Eugène, c'est quelqu’un de croyant. À prier chaque soir au pied de son lit le Seigneur depuis son enfance, à rester droit dans ses bottes pour ne commettre aucun péché – quoique . . . – et à aller à la messe tous les dimanches – voire plus, si son emploi du temps le lui permettait –. Un fervent catholique pratiquant, était-il. Certains étaient rebutés, à la connaissance de cette information, ou bien d'autres étaient simplement neutres sur le sujet. Dans tous les cas, tant qu'ils n'insultaient pas Dieu ou la – sa ? – religion devant lui, le roux n'avait aucune raison de le prendre mal. D'ailleurs, il était très chrétien oui, mais tout de même assez ouvert d'esprit – enfin, cela dépendait des sujets ; il ne l'était pas avec tout, non plus ; ne poussons pas le bouchon trop loin – pour accepter les autres croyances, bien qu’évidemment, le père de Jésus resterait pour lui le maître suprême, quoiqu'on en dise ; cela restait logique, selon lui. Mais il ne le disait pas, ne voulant point vexer. Petite anecdote, l'Irlandais porte toujours sur lui une chaîne dorée avec la croix, mais qu'il prenait juste soin de cacher en-dessous de ses vêtements pour ne pas qu'on la voit.

Eugène, c'est quelqu'un qui aime voyager. Voir de nouveaux horizons, de nouvelles terres, de nouveaux paysages. Bien qu'il préférait rester dans les contrées européennes, comme celles de la Lituanie ou de l'Autriche – heureusement que les personnes de là-bas parlaient plutôt bien anglais d'ailleurs, sinon, au secours ! –, il aimerait bien un jour visiter d'autres pays sur d'autres continents, comme la Nouvelle-Zélande en Océanie, par exemple. Très belle nation, vraiment. Aussi verdoyante que son île britannique. Sa chambre était donc, en plus de son bazar habituel, parsemée de petits bibelots ramenés de ses quelques voyages, avec des cartes postales et des timbres. Un grand collectionneur, par ailleurs.

Eugène, c'est quelqu'un de pas difficile. Il ne fait pas la fine bouche, surtout pour une chose, dont l'utilisation de ce terme était assez appropriée d'ailleurs : La nourriture. On pourrait croire, au premier abord, qu'il avait un palais sensible, qu'il ne mangeait que des choses saines et raffinées. Oh, que nenni que voilà : Il se nourrit de tout. Et quand on dit de tout . . . C'est vraiment tout. Peu importe ce que vous lui mettez dans l'assiette, Eugène se remplira le ventre avec ; tant que c'est comestible de base, hein. D'une légère salade de printemps à une bonne purée épaisse au poisson, en passant par le tant redouté haggis des cousins écossais. Non, vraiment, du moment que c'était mangeable, tout y passait. D'ailleurs, malgré lui, il avait un petit quelque chose lui faisant à la fois office de péché mignon, mais aussi de plaisir coupable : Des sauterelles grillées. Ouais, ils avaient tous la même expression sur le visage en apprenant cela : Du dégoût. Mais le roux, lui, adorait ça ; il était souvent vu avec une petite boîte pleine – ou presque vide, en fait . . . – dans une main, tentant vainement de la cacher des yeux des autres. Il se désespérait lui-même d'avoir cédé à ce petit caprice, mais maintenant qu'il était lancé, il ne pouvait plus s'en passer. Une drogue douce, on pouvait dire. Ah, c’est si beau, l'ironie du sort . . .

Drôle, pour un catholique aussi déterminé que lui, de s'être ainsi laissé soumettre à la Gourmandise. Enfin, ce n'était pas le seul péché capital dont il s'était épris tout au long de sa vie malgré ses raisons, ses croyances, ses promesses envers le Seigneur, malheureusement, mais une petite confession et tout redeviendrait comme avant, n'est-ce pas ? . . . N'est-ce pas ?

my face is just like fire and emerald
Étant originaire d'Irlande, ô île émeraude perdue dans l’Atlantique nord, le jeune homme ne faisait pas exception à la règle ancestrale coulant de génération en génération depuis des siècles, dans ce petit coin de terre verdoyante : Des cheveux flamboyants. Enfin, ils ne sont pas roux dans le sens strict du terme, étant donné qu'ils sont plutôt blonds vénitiens, tirant en effet sur un bon orange assez marqué la plupart du temps, notamment quand il se retrouve bien exposé au soleil. Plutôt courts, bien qu'une houppette était fièrement levée sur le dessus de son crâne. Il ne savait pas lui-même pourquoi est-ce qu'il adoptait cette coiffure, et ne faisait jamais rien pour avoir une tignasse homogène ; sûrement parce qu'il devait y avoir pris goût avec le temps, et trouverait étrange de se regarder dans la glace, le matin ou à tout autre moment de la journée, pour ne plus voir cette fameuse houppette et y passer la main dedans, comme à son habitude, en réflexe. Et très certainement, s'il la coupait, Lucie le regarderait avec des yeux ronds d'incompréhension avant de n'hurler au scandale. La seule réaction qu'Eugène aurait eu face à ça, cela aurait été un petit rire car sa sœur serait décidément restée toujours autant fidèle à elle-même, et ce malgré les années.

Quand on le rencontrait pour la première fois, par ailleurs, on pouvait facilement croire qu'il avait les yeux noirs profonds, mais que nenni : Ils sont en réalité verts foncés ; un verdâtre tellement sombre qu'on pourrait dire qu'ils sont couleur onyx, de très loin, oui. Juste, quand on se rapprochait un peu plus de lui, de son visage – ce qu'il trouverait extrêmement embarrassant, en y réfléchissant bien –, on pouvait le voir de ses propres yeux. Enfin, pour parler d'autre chose : Il est d'une taille plutôt normale, raisonnable même, pour un homme de son âge. Dans la moyenne. Il était d'ailleurs assez fin, un physique plutôt svelte en effet, renvoyant une image plutôt fragile de lui-même ; comme si un coup de vent et hop, il pouvait s'envoler, comme une plume au gré de la tempête. Cette illusion semblait s’accentuer de par sa peau claire, presque laiteuse, cristalline, dont il était dotée. De la porcelaine précieuse comme du diamant que l'on ne voudrait briser pour rien au monde, ou bien une chair tendre dans laquelle on ne demandait qu'à planter ses crocs acérés. Douce contradiction qui ne faisait qu'encore plus perturber les autres vis-à-vis d'Eugène. Le protéger ou le briser. Bonne question . . .

De par cette caractéristique, chaque ecchymose bleutée, chaque blessure rougeâtre ou chaque rougissement rosé se voyaient sur son visage avec une netteté déconcertante ; sa peau en général, même. Boutons, points noirs et grains de beauté subissaient le même traitement, aucune discrimination n'étant permise ; comme une tache le défigurant entièrement, ne pouvant voir plus que ça et rien d’autre, comme éclipsé par ce défaut survenu dans le plus grand des hasards, simplement pour titiller ses nerfs. Difficile de cacher quelque chose relevant du physique, et c’était d'autant plus vrai quand c'était sur sa face. Enfin . . . Il y avait bien une chose, sur son visage, qu'il possédait et qui était différent du reste des gens, dans cette ville ; plus précisément, Eugène n'était pas unique à les avoir, mais cela ne courrait pas les rues non plus : Des taches de rousseur parsemaient avec malice son nez et le début de ses joues, en dessous de ses orbes vertes. Des traces enflammées par le Diable ; qui couvraient aussi ses épaules et le commencement de ses omoplates, pour ne rien arranger. C'était bien les seules cicatrices – infernales – marquées à jamais sur lui et qui ne gâchaient pas toute cette harmonie, étant en raccord avec ses origines et la teinte orangée de sa tignasse. Quoique, pour être très franc, l'Irlandais usait de crème pour les éclaircir, comme pour les cacher, les dissimuler de la vue de tous. Elles étaient assez voyantes de base, d'une couleur ambrée – sur une surface blanche, au sens strict du terme, de plus – qui ne laissait personne indifférent et qui flashait presque chaque gens le croisant brièvement du coin de l’œil. Alors, pour atténuer cette sensation assez dérangeante à son goût, il avait adopté cette solution. Ses taches rousses étaient toujours là, mais moins marquées seulement. Et, oh, pauvre Eugène qui était devenu presque paranoïaque à cause de ses autres empreintes qui allaient et venaient sur son faciès, mais qui n'avaient rien de beau, comparé à ses traînées couleur soleil, naturelles. Une malédiction en plus, comme si son corps n'en avait pas déjà fait assez avec lui . . . N'est-ce pas, très chère trace noir en forme de trèfle . . .

Et si nous parlions du style vestimentaire, quelques instants, histoire de combler un peu tout ça, voulez-vous ? Eugène n'était clairement pas du genre à porter des vêtements dit cool, pour normalement des personnes jeunes gens de son âge, comme des sweats à capuche, des pantalons déchirés – quelle arnaque, ces trucs-là, d'ailleurs –, ou tout autre habit à imprimés. Non, lui, il était plus classique, diront-nous : Des chemises, des polos, des bons gros pulls d'hiver. Souvent dans des couleurs sobres, clairs ou sombres ; pas de fluo aveuglant à l'horizon, étant donné qu'il détestait ça ; cela lui fait plus mal aux yeux qu'autre chose, les couleurs trop violentes à l’œil. Ses rétines sont fragiles, il se devait de les préserver ; tout comme le reste de son être, en fait, que cela soit le corps, l’esprit ou le cœur . . . Et Eugène qui devait vivre avec ça, sans rien dire, en l'acceptant avec toute la bonne foi du monde : Après tout, c'était Dieu qui en avait décidé ainsi, alors il ne pouvait que se soumettre à ses décisions, aussi cruelles étaient-elles.

Voici donc la conclusion : C’est quelqu'un de plutôt lambda en soit, n'ayant rien de vraiment extraordinaire à proposer, en somme. Un homme parmi les hommes. Hormis ses cheveux de feu, évidemment.
the Irish book
• EIRE •

On pouvait dire que le couple O'Sullivan, les deux parties étant mariées depuis quelques années déjà, avait eu de la chance, comparé à d'autres familles de leur époque : Leur premier enfant fut une fille. Une petite rayonnante, aux cheveux flamboyants de son père et au grand sourire de sa mère ; une gracieuse boule d'énergie qui ne cessait de rappeler sa présence à chaque instant, faisant un bruit pas possible pour se faire remarquer, réclamant déjà toute l'attention à son jeune âge. Vivre avec elle promettait du lourd, du très très lourd ! Mais malgré cela, c'était une choupette ; vous ne pouvez pas savoir à quel point Padraig et Flavie étaient fiers de leur fille, de leur petite Lucie – ayant reçu un prénom français faisant écho au pays de naissance de sa maternelle –. Et puis . . . En avoir une, à la première naissance, le premier accouchement, ce n'était pas n’importe quelle femme qui réalisait un tel miracle, de nos jours, vous savez. Une bénédiction divine. Alors, imaginez bien leur joie ainsi que celle de leur famille respective à la nouvelle ! Une petite princesse venait de débarquer dans leur vie. Une princesse qui n'avait rien de celles dans les contes de fées, cependant ; enfin, elle se rapprochait plus de la courageuse Mérida qu'une autre – autant dans le caractère que la couleur de cheveux –. Oh, et la suggestion d'avoir un autre enfant leur avait été soumise, chuchotée ; une fois, un jour. Au détour d'un dîner, d'une discussion, ils ne se souvenaient plus de quand et par qui, mais l'idée était restée dans leur mémoire, ancrée. Aucun des deux ne se rappelait des circonstances exactes. Sûrement cela avait-il été lâché pour espérer que Flavie redonne naissance à un bébé de sexe féminin ; allez savoir. Les deux amants s'étaient longuement regardés, sur le coup. Réfléchissant. Pesant le pour et le contre. Ils avaient Lucie, qui devait déjà avoir deux ans environ, mais . . . Le couple s'aimait, c'était un fait indéniable. Et puis, la petite rousse n'avait cessée d'aller voir ses parents, chaque fois au moment le plus inattendu, pour leur poser la fameuse question : « Est-ce que j'aurais un petit frère ou une petite sœur ? » ; tous les gamins avaient ça en tête ; c'était mignon, innocent. Après tout, qui ne voudrait pas avoir la fierté d'être l'aîné d'une fratrie, de pouvoir protéger un être de sa famille en étant le plus âgé ? Je vous le demande.

Alors, quelques mois plus tard, neuf pour être plus exact, quelle coïncidence, ils eurent un nouvel enfant. Pas juste pour cet infime espoir de procréer de nouveau une fille que certains de leurs amis s'étaient imaginé, oh, que nenni ! Grave erreur ! La simple envie d'avoir une nouvelle bouille à la maison, un petit frère ou petite sœur pour Lucie, avait le plus joué. Que la famille s’agrandisse un peu plus ! Et la petite rouquine qui n'avait cessée de fixer le ventre rond de sa génitrice, semblant grandir de jour en jour, pendant la grossesse. Un sourire radieux et curieux aux lèvres. Semblant patiente à l'extérieur, mais à l'intérieur . . . C'était une catastrophe. Beaucoup trop de hâte qu'elle dissimulait avec brio malgré son âge. Précoce, la p'tite.

Ce fameux petit cadet, ce fut Eugène. Une petite larve rose pleurante dans les bras de sa mère, enveloppée dans une douce couverture. Ainsi commença sa vie. Dans un hôpital, des bras encore inconnus à son esprit brumeux l'entourant.

Lucie passait la plupart de son temps à jouer avec son petit frère, qu'elle trouvait adorable, avec ses petits cheveux roux sur la tête, pareils aux siens. L'origine irlandaise se sentait assez bien, dans la progéniture ; Padraig en était pas peu fier ! D'ailleurs, plus le temps passait, et plus la petite avait eu envie d'apprendre le français, en allant quémander sa requête à sa mère. Flavie utilisait en effet quelques phrases françaises quand elle parlait, un petit lapsus qu'elle corrigeait vite en se rappelant être à Dublin, ville majoritairement anglophone. La fillette avait été quelque peu fascinée par cette langue qu'elle ne connaissait point, mais que son indéniable côté curieux l'avait poussée à en savoir un peu plus. Et ce fut à cette période qu'une frontière nette commença à s'imposer.

Eugène était avec leur père, Lucie était avec leur mère.

Le garçon avec l'homme et la fille avec la femme.

À cette époque, le cadet n'avait aucunement fait attention à ça, ce petit détail, ayant autre chose à penser. Comme ramener de bonnes notes de l'école pour que sa famille soit fière de lui, avoir un comportement exemplaire et prier Dieu chaque soir avant d'aller se coucher pour éviter l'Enfer. Inconsciemment, il s'était mis au défi d'être l'enfant modèle ; sûrement influencé par d'autres camarades de classe, quelque peu extrémistes sur les bords. Alors qu'il y avait sa sœur, à côté, énergique comme jamais, qui aimait le taquiner de temps en temps – et faire n'importe quoi, aussi –. Enfin venait-elle de comprendre le vrai principe d'un cadet !

Outre, les O'Sullivan fut une famille normale, avec une vie sans aucun grand soucis. Du moins, au début. Avant que la sœur de Padraig ne décède, tout du moins. Elle aussi, à son tour. Comme toutes les autres. Parce qu'elle était devenue trop faible pour ce monde, Dieu lui avait pris la vie, pour très certainement la garder dans un meilleur endroit que cette cruelle Terre que les Hommes avaient modelée en proie à la destruction.

Sur le coup, la nouvelle avait quelque peu cassé l’ambiance chaleureuse du foyer familial, le père ayant été inconsolable pendant plusieurs jours. La perte de sa jumelle, Géileis, l'avait tout sauf laissé de marbre ; vous comprenez. Sa femme avait tant bien que mal essayée de le soulager, de le faire cesser de sangloter, mais rien n'y avait fait. La bonne humeur contagieuse de sa fille avait disparu ; et puis, il y avait eu Eugène. Lui aussi, avait sangloté la mort de sa tante, qu'il avait déjà eu l'occasion de rencontrer et d'apprécier. Une femme honnête et gentille, qui était partie. Vous savez, celle qu'on voit rarement mais qui vous offre à chaque retrouvailles des friandises pour ravir les papilles et du baume au cœur pour vous faire sourire. Il avait alors dit à son paternel que, en effet, c'était la volonté de Dieu, mais qu'elle était certainement très heureuse là où elle se trouvait, à présent. Eugène en était persuadé. Son père était resté interdit quelques secondes, avant de ne venir frotter sa paume dans la chevelure de son fils.

Encore un nouvel arrivant, dans la famille. Mais cette fois-ci, ce ne fut pas un nouvel enfant du couple ; c’était Laserian, le fils de Géileis. Padraig était sa seule famille encore vivante, alors il n'avait pas eu le choix que d'emménager chez eux. Le cadet avait un avis plutôt neutre vis-à-vis de son cousin, qui par ailleurs était dans la même tranche d'âge que lui : Laserian était assez particulier, à ses yeux. Toujours seul, à rester dans son coin, pas très bavard non plus ; ne souriant pas autant qu'il ne l’aurait espéré. Un solitaire. Cela avait simplement piqué la curiosité du roux, mais il n'avait pas voulu insister sur le sujet. Si c'était son choix, alors il en était ainsi ; il ne pouvait pas intervenir. Seul Dieu le pouvait.

Tout bascula encore. Décidément, leur vie d'abord simplette fut, tout d'un coup, sans crier gare, remplie de rebondissements. Pas forcément les meilleurs, c'était vrai. Ils n'allaient pas mentir sur ça. Le décès de la tante était encore assez présent, quoique bien assez dilué depuis. Encore heureux, dans un sens ! Enfin, tout ça pour dire que Padraig avait pris une grande décision : Celle de rénover une vieille possession de sa défunte jumelle. Une boutique délabrée dont elle était l'unique propriétaire et qu'elle prévoyait d'utiliser un jour – ce qui n'arrivera finalement jamais –, dans une ville en Angleterre ; ville qu'il n'arrivait jamais à prononcer correctement le nom tellement cela ressemblait plus à de l'allemand qu'autre chose. Étant toujours au chômage, en recherche d'emploi, ne faisant rien de ses journées hormis la cuisine, le songe de donner une nouvelle vie à l'ancienne propriété de Géileis lui avait vaguement traversé l'esprit, un soir, et depuis, ce n'était plus sorti de sa tête. Faire une entière rénovation pour créer lui-même son commerce. Alors que dans le même temps . . . Flavie se faisait licencier. Les deux nouvelles ayant été livrées le même jour, sans faire exprès, quel hasard des plus fâcheux, aucun des cinq membres de la famille n'avaient su comment réagir en premier lieu. Content pour le paternel, triste pour la maternelle. Ce fut vers elle qu'on réclama en premier lieu des explications.

Elle était une femme. Elle était faible ; encore plus que normalement. Sales patron et collègues machos au possible. Le père avait eu la folle envie de régler des comptes, à la nouvelle, mais il ne le fit pas. Pour sa femme. Pour les enfants. Pour sa sœur. Il ne voulait pas apporter plus de malheur dans sa tendre famille ; celle qui lui restait, tout du moins. Alors, pour détendre l'atmosphère, on regarda Padraig, pour qu'il leur parle du fabuleux projet avec la vieille boutique anglaise. Cela avait été avec un sourire certain aux lèvres qu'il leur avait alors révélé la chose, yeux brillants : Exercer dans un petit commerce de Niflheim, près de Londres, tout en honorant la possession de sa sœur. Gagnant ainsi un travail – et c'était malheureux à dire, mais sa femme ayant été virée de sa boîte, alors . . . –, et sûrement une vie meilleure pour sa famille. Il y avait le déménagement, certes, mais ça . . .

Ils étaient un peu tombés des nus, oui, on pouvait le dire.

• NIFLHEIM •

Petite ville anglaise que voilà, dans laquelle les O'Sullivan avaient officiellement posé leurs valises, non sans quelques réticences – Laserian –. La première chose que Lucie avait fait avait été de tournoyer sur elle-même en hurlant de joie, bras en l'air et faisant voleter sa jupe rose à fleurs blanches, héritée de sa grand-mère et qu'elle aimait porter. Pas qu'elle avait détesté Dublin, oh que non, bien au contraire ; elle aimait juste découvrir de nouveaux horizons, de nouveaux lieux ; exactement comme son frère, quand on y réfléchissait bien.

Il y avait juste une chose, qui avait mis Eugène mal à l'aise – et pas que lui, en fait – : Les regards. Quand la petite troupe presque totalement rousse avait déambulée les rues afin de trouver leur maison, à quelques avenues de là où est-ce qu'ils avaient été lâchés, ils n'étaient pas passés inaperçus. Pas par leurs cheveux flamboyants, non. Parce que Flavie et Lucie, tout simplement. Forcément, deux femmes à Niflheim . . . Elles n'étaient pas des plus nombreuses, c'était le cas de le dire, alors oui, elles attiraient avec facilité le regard. La plus âgée avait été la plus embarrassée par une telle attention involontaire sur elle, se cachant presque dans les bras de son mari, tandis que sa fille n'avait même pas remarqué la situation. Et cela ne c'était pas arrêté là. Les jours, les semaines, les mois suivants, on les fixait toujours, bien que moins. Comme des anomalies ambulantes mais inoffensives. Eugène l'avait vu, lui. Il comprenait à la fois que cela pouvait paraître étrange, des filles dans une telle ville, aucunement adaptée à la gente féminine. Mais il avait aussi l'impression qu'elles étaient traitées comme des bêtes de foire qu'on pointait du doigt . . . Ce qu'il ne pouvait tolérer. Cependant, il n'y pouvait pas grand chose, dans les faits. Alors il se contentait de lancer des regards presque noirs aux hommes qui oseraient dévisager un peu trop sa mère ou sa sœur aînée. Il devint un peu malgré lui, surprotecteur. Presque inconsciemment, tiens.

Leur demeure n'était pas loin de la vieille propriété, ce qui n'était pas négligeable. À peine dix minutes à pied le matin. D’ailleurs, histoire de ne pas trop entrer dans les détails : Lucie avait vite trouvé quelques petits boulots pour sustenter au besoin monétaire, tandis que la grande rénovation avait pris plusieurs mois de dur labeur mais qui donna naissance à un magnifique fruit de récompense. Le père se souvenait encore du jour où est-ce qu'il avait installé les derniers appareils ménagers, en compagnie de Laserian ; la dernière étape avant que tout soit en ordre. Eugène avait noté la date dans un vieux carnet désormais perdu dans sa commode : Un vingt février.

Ce fut ainsi que leur nouvelle vie avait réellement repris, en quelque sorte, on pouvait dire. Padraig mettant à profit ses notions d’antan en matière de cuisine ; ou plus particulièrement de pâtisserie, en fait. Sa mère lui avait montré comment faire, quand il était bien plus jeune ; il n'avait pas perdu ses cours. Comme le vélo : Ça s'oublie pas ! Je pense ne pas avoir à préciser quel genre de commerce est-ce qu'il avait ouvert ; enfin, n'entrons pas dans les détails et le discours ennuyeux qui fera bailler toute la salle. Venons-en au fait ; le dernier chamboulement. Le vrai.

• LUCIFER •

La sainte – diabolique – soirée. Dans laquelle la vie d'Eugène avait . . . Drastiquement changée, sans aucune possibilité de retour en arrière ; à la normale. Adieu innocente vie, bienvenue cauchemars. Vous vous demanderez sûrement comment est-ce que cela avait pu arriver, et par quel moyen ? Laissez-moi alors vous conter cette partie de l'histoire, lampes éteintes, bougies allumées :

Cela avait commencé comme un soir comme les autres, pourtant. Rien d'anormal ne s'était manifesté, non ; aucun signe, aucun présage d'un quelconque funeste futur. Tout le monde dormait, dans la demeure ; on entendait les ronflements de Padraig, mais cela ne dérangeait plus sa femme, depuis le temps habituée. Juste Laserian qui en avait toujours autant marre, et s’était endormi dans une mauvaise humeur certaine ; encore. Il était vers trois heures du matin, quand un grand fracas réveilla Eugène de son sommeil ; seulement lui. Un simple son un peu trop fort, et il avait les yeux ouverts. L'esprit embrumé par ce soudain sursaut qu'il avait ressenti, le premier réflexe qu'il avait eu fut de s'asseoir sur son lit, histoire de bien émerger du pays de Morphée, avant de sortir de sa chambre, doucement, chaussons aux pieds. Des bruits de pas effrénés, des chuchotements vivaces . . . Aucune des voix ne correspondaient à une qu'il connaissait. C'était . . . Louche. Étrange. Quelque chose clochait ; anguille sous roche. Des gens qu'il ne connaissait pas, ici, chez lui, à une heure pareille ? Puis, s'avançant un peu, une main perdue sur le mur comme pour se repérer dans la pénombre . . . Oh. Il eut le temps de bien comprendre en arrivant dans le salon. Les neurones avaient collecté suffisamment d'informations pour en déduire la situation. Bien sûr, qu'Eugène tenta de faire marche arrière, le plus discrètement et silencieusement possible, de retourner vers sa chambre à coucher pour récupérer le téléphone et appeler la police. Que des cambrioleurs étaient entrés par effraction chez lui, sans plus de discrétion, des tissus sombres enroulant cependant leur visage. Mais c’était trop tard. Bien trop tard ; il avait été trop lent, trop bruyant. Une cible facile.

Il avait été repéré, bien malgré lui. Et ils étaient armés, au cas où la situation tournerait au vinaigre ; ayant tout préparé en avance. Ils avaient eu raison, ces cons.

Trois, très exactement, sons avaient volés au travers de la pièce, en direction d'Eugène. Pas assez rapide, le garçon. Et un cri. Un écroulement lourd au sol, mais encore vivant. La paume qui tente de ramper, avec un mince, très mince, espoir de s'en sortir. La douleur qui s'empare des entrailles. La vie qui défile devant les yeux, la vision qui se trouble, les prières qui se répercutent en écho dans la tête. Le cœur qui bat à la chamade, commençant à se vider à petit feu. Le corps entier en alerte. Et le coup de grâce, invisible à ses orbes vertes : Choc dans la boîte crânienne. Acte mortel. Acte monstrueux. Cette main ferme qui arrache sans vergogne une pauvre âme, comme cueillit au mauvais moment ; fanant dans la seconde. Et ce jus, ce nectar du Diable qui tache le sol immaculé de tout crime pourtant. Les auteurs qui s'enfuient, comme effaçant automatiquement leur signature de leur oeuvre, la rendant alors anonyme. La carcasse vide laissée à l'abandon par les malins, dans sa mort. Dans son trépas.

Enfin . . . Ils n'avaient pas été très futés, quand on y réfléchissait bien : Ils n'avaient même pas cherché à savoir s'il y avait d'autres résidents, et donc, de potentiels témoins du crime. Mais sûrement avaient-ils été pressés par le temps, la peur que les voisins ne rappliquent, alors ils avaient déguerpis en deux temps, trois mouvements. Laissant derrière eux ce cadavre sanguinolent, qui n'avait eu que pour défaut, celui d'avoir le sommeil léger. La carcasse, de nouveau. L'épave.

Mais cela serait bien trop facile, si cela s'arrêtait là, n'est-ce pas ? N'est-ce pas. Le roux n'avait pas été assez maltraité, durant sa vie, vous comprenez. Il fallait encore enfoncer quelques clous dans ce qui restait de son âme. Alors, imaginez une salle blanche, complètement vide. Immaculée, propre, vierge. Le néant. Rien d'autre. Et Eugène, apparaissant de nul part, dans ce monde tout aussi clair que sa peau, d'une pâleur inégalée. Le purgatoire ? Les portes du Paradis ? Où se trouvait-il, exactement ? Quand son regard d'émeraude s'accrocha à quelque chose. Une masse. Une masse recouverte d'un large tissu sombre comme la ténébreuse des nuits, distinguant à peine une forme concrète, un crâne surplombant le tout et deux billes rouges sangs à peine visibles dans les creux. C'était . . . Une chimère. Un être des Enfers.

Le Diable.

Eugène avait peur. Eugène tremblait. Eugène était perdu, désorienté. Son esprit ne comprenait plus un rond de ce qui était en train de se passer sous ses yeux ébahis. La voix de cette chose devant lui lui explosait les tympans. De quoi, y retourner ? De quoi, Reload ? De quoi, son petit cadeau ? C'était ça, alors, l'Enfer ? Un retournement de cerveau ? Avait-il réellement mérité d'aller là-bas ? De voir Lucifer en personne ? Quelles fautes avait-il seulement commis pour mériter un tel châtiment ? Son cerveau ne savait plus. Trop de questions en une seule fois. Trop de mystères. Trop d'incohérences pour ce croyant, ironiquement si ignorant.

Eugène ne savait plus.


Divertis-moi, Reload.


La sentence irrévocable. Un retour à la réalité bien trop violent pour son petit être. Sa tendre sœur, penchée au-dessus de lui, les joues pleines de larmes tandis que les cris d'une ambulance fusent au loin. Les marques mortelles n'étaient plus de ce monde, n'étant plus en danger grave ; sa famille s’était juste réveillée en trombe suite aux coups de feu avant de voir le cadet, inconscient, au sol et blessé. C’était bien trop fou pour être vrai, hein, toute cette histoire . . . ? Eugène s’était dit qu'il s'était pris un coup trop violent et que ça l'avait fait délirer ; que si ça se trouve, il n'était pas mort du tout. Que les criminels avaient juste mal tiré, mal visé ; qu'il était juste tombé dans les pommes et avait comaté un peu quelques instants. Le croyant dans le dénie. Mais . . . Ha. Ha. Ha.

Le don empoisonné venait d'encore plus le perdre dans le labyrinthe de son esprit.

Alors le voilà. Maintenant, il était là, à cacher toute la vérité aux personnes qui lui étaient le plus chères. À sa propre famille, son propre sang, sa propre chaire. Qu'il était mort. Qu'il avait rencontré le Diable. Qu'il était revenu parmi les vivants. Qu'il avait été maudit jusque dans les profondeurs de ses entrailles. Que c'était d'un surréalisme inouï qu'il avait lui-même nié, mais . . . Que voulez-vous. On ne tourne pas le dos à la réalité éternellement.

Et il était obligé de vivre avec tout ça sur la conscience, la bouche muselée. Punition divine pour ses péchés égoïstes.

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Anonymous
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Sam 11 Mai - 2:38
REBIENVENUE MA POULE ! Yaaas

J'ai hâte de voir ce petit boulanger à l'oeuvre sur le forum ! Sneaky
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Eugène O'Sullivan
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Le pain et le vin

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Eugène O'Sullivan
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Sam 11 Mai - 2:46
Coucou hamsterichou Green is the new black ✝ Eugène [terminé] 4098018677 !

Moi aussi j'ai hâte de voir ce qu'il va devenir, mon p'tit boulanger roux ! J'ai quelques idées mais je les garde précieusement dans ma boîte à idées Sneaky !
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Anonymous
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Sam 11 Mai - 6:22
"On ne peut pas avoir à la fois le pain, l'argent du pain et le boulanger." J'tassure !

Rebienvenue, big bro! Hâte que tu nous péchote du James avec Eugie. Yawn
Très kiki comme vava en tout cas!
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Eugène O'Sullivan
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Le pain et le vin

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Sam 11 Mai - 6:47
Bawi c'est logique comme "citation" J'tassure ! sauf si on désigne le mari du boulanger en question évidemment Sneaky .

Merciiii Lovy Elmo ! Il est en E, ça marche pas Yawn /PAN/ ! Et mon petit Eugène n'est pas du genre très dragueur surtout avec les hommes ; non non il est pas difficile c fo comparé à Dim ; tu le verras bien assez tôt Green is the new black ✝ Eugène [terminé] 4098018677 .

Bien sûr qu'il est kiki, c'est Tintin yes yes yes !
*ne fanboy pas du tout*
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Nathaniel Okigaara
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Green is the new black ✝ Eugène [terminé] Aesthetic

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Sam 11 Mai - 10:08
Dimmuuuuuuuuuuuuuu WAZAA re bienvenue *-*
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Oliver Winchester
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*:・゚✧

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Sam 11 Mai - 10:40
Et re-bienvenue ici ! Elmo

J'ai hâte d'en apprendre plus sur Eugène en tout cas, rien qu'avec le début ce qui est écrit il a l'air tout cutie !! Hâte aussi de voir ce que tu vas faire précisément avec son pouvoir (tu as mis WIP pour que j'évite de te dire qu'il manque de malus ?? Sneaky mais à part ça c'est déjà un très bon début !)

(je suis la maman d'eugène du coup... Green is the new black ✝ Eugène [terminé] 4098018677)

Bon courage pour la suite de ta fiche, si tu as des questions n'hésite surtout pas ! ♥
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Zyed Andronikov
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Green is the new black ✝ Eugène [terminé] 4f1g

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Zyed Andronikov
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Sam 11 Mai - 10:46
Olalala quelle surprise ! Tintin quoi ! Tintin dans un yaoi, tu veux vraiment détruire mon enfance ???

Mdr en tout cas bienvenue avec ce double compte, je trouve le personnage déjà très original ! Bon courage pour la fiche !

Love you ♥
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Anonymous
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Sam 11 Mai - 10:48
Re bienvenueeeeeeee :3

J'ai hâte de lire ta fiche, bon courage pour la terminer !
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Kyle A. Ethelred
All I ever wanted was the world
Green is the new black ✝ Eugène [terminé] Kyle%20Ethelred%202


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Kyle A. Ethelred
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Sam 11 Mai - 11:39
Grande fierté nationale en ce matin tout ça. J'ai jamais vu un Tintin ailleurs sur un forum rp, alors je suis très intéressée, surtout que boulanger ça envoie du pâté de campagne Yawn(J'avoue j'avais lu la citation avant le métier alors j'avais pas tout les éléments en main jpp)

Bon courage pour la fin de ta fiche, on reste dans le coin si t'as besoin d'aide Yawn
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Eugène O'Sullivan
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Le pain et le vin

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Sam 11 Mai - 14:06
HAN MAIS TANT DE SALUTATIONS J'EN AI JAMAIS EU MERCIIIII yes yes yes !

Oliver > Ouii c'est un cutie ! Un cutie qui fait genre il est pur alors que . . . hide the pain *ne va pas spoiler Sneaky* Pour le malus, oui j'avoue, c'est un peu pour ça XD faut que je trouve un peu d'autres malus, mais je ne veux pas en mettre TROP comparé à ce qui est demandé XD . Mais tu es la voix de la raison alors tu me guideras J'tassure ! . Et puis, tu es la fière mama de Eugie Green is the new black ✝ Eugène [terminé] 4098018677 j'étais sûr que tu allais le soulever, ce détail XD !

Zyed > Totalement, Zyzy hide the pain . Nan en vrai c'pas ma faute si l'ava qui allait le mieux c'était le reporter belge . . . MAIS je voulais aussi voir la réaction des gens du fait que yep, Tintin dans un univers yaoi il n'y a-t-il pas un Haddock qui traîne dans le coin d'ailleurs ?- /PAN/ hide the pain . Et merciiiii !

Kyle > Tintin ça marque les esprits hein Green is the new black ✝ Eugène [terminé] 4098018677 ? Et ouiiii ! Je trouvais que le métier le plus approprié à Eugène était boulanger, alors . . . ET PUIS Y'EN A PAS ENCORE ICI Green is the new black ✝ Eugène [terminé] 264476432 ! Affront ! Heureusement que je suis en train de corriger ça Yawn ! Et merci encore \o/ !
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Sam 18 Mai - 21:59
Eugène O'Sullivan a écrit:
il n'y a-t-il pas un Haddock qui traîne dans le coin d'ailleurs ?- /PAN/

JE PEUX PAS

JE MEURS

je me marre trop

c'est génial ! (et moi j'ai toujours vu du potientiel uke en Tintin, il se fait beaucoup trop marrave dans ses BDs, mon esprit est trop corrompu)

(c'est comme Spirou, on peut parler de Spirou ?
Spoiler:
le mec se fait drogué en plus !!!!

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Eugène O'Sullivan
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Eugène O'Sullivan
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Dim 19 Mai - 2:31
(t'as vu je me connecte sur Eugène rien que pour toi sois honoré de ce privilège Green is the new black ✝ Eugène [terminé] 4098018677)

Ah mais meurs pas ducon, t'auras pas de troisième chance- /PAN/

(ah mais Tintin est définitivement un gros uke des familles, ça se sent à des kilomètres ; et t'inquiète, il est pas trop corrompu, ça va encore)

JE MEURS DE CE MONTAGE DE SPIROU JPP TCNFDTCHJXH-

Oui tous les roux de BDs sont des ukes finis, c'est scientifiquement prouvé.
c'est Haddock et Fantasio qui vont être contents tiens- /PAN/
comment ça je brise encore plus des enfances avec mes conneries ?
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Nao Wakamusha
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Nao Wakamusha
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Dim 19 Mai - 13:02
Re-bienvenue Dimitri avec ce petit Eugène :3 Prendre Tintin en avatar, j'avoue que ce n'est pas courant ^^ Bon courage pour la suite de la fiche !

PTDR Noah tu m'as tuée avec ce montage de Spirou ! XD

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Eugène O'Sullivan
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Dim 19 Mai - 13:12
Merci Nao yes yes yes !

Oui, c'est vrai ; mais je suis là pour niquer le game, donc c'est normal de ma part Much Doge . Et merci aussi \o !

Lui aussi il m'a tué avec son montage le con XD !
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Anonymous
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Lun 8 Juil - 10:57
Coucou Eugène ! Elmo
Je viens te voir parce que le délai sur ta fiche de présentation a touché à sa fin le 25 juin. Or, tu n'as toujours pas avancé sur ta fiche. Aurais-tu besoin d'un délai supplémentaire ? Si oui, nous pouvons t'en poser un jusqu'au 8 août.

Voilà ! Des bisous ! Chapeau !
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Eugène O'Sullivan
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Lun 8 Juil - 11:04
Coucouuuuu !

Je proteste, j'ai avancé Green is the new black ✝ Eugène [terminé] 3708424873 bon juste de quelques paragraphes, mais c'est toujours mieux que rien- /PAN/ enfin bon, entre les oublies, les bugs qui me font perdre du texte et les grosses pressions pour d'autres trucs, j'arrive pas trop à avancer plus rapidement malgré moi T.T faudrait inventé une technologie qui écrive pour nous, ce serait tellement plus simple Ah bon ? . Tout ça pour dire que oui, je ne serais pas contre un peu plus de temps, et encore désolé de laisser traîner Eugène autant T.T !
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Anonymous
Invité
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Lun 8 Juil - 11:24
Hahaha !
Y a pas de mal ! Je t'accorde donc un délai jusqu'au 8/08 ! J'tassure !
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Eugène O'Sullivan
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Le pain et le vin

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Sam 20 Juil - 11:36
Hello hello ! J'aurais été plus rapide pour ce dernier p'tit délai étant donné que je peux annoncer haut et fort que la fiche d'Eugène est terminée Sneaky ! Il aura pris son temps le con, mais j'ai envie de dire : Si j'ai pris plus de temps, c'est pour offrir une plus grand qualité Much Doge /PAN/ plus sérieusement, hésitez pas à me dire ce que je dois modifier si besoin Love you ♥ !
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Elliot Hayaki
Je s'appelle Groot.
Green is the new black ✝ Eugène [terminé] Elliot%20Hayaki%20vava%202


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Elliot Hayaki
Je s'appelle Groot.
Ven 26 Juil - 15:31


 
Tu es validé ! Bravo !

 

Ma co a fait son grand retour du coup j'ai plus besoin de tenir ma langue et garder mes p'tits commentaires secrets, j'peux valider  WAZAA

D'abord c'est très rigolo de lire un physique tout en ayant dans un coin de la tête que c'est Tintin. Je l'ai lu avant le caractère justement à cause de ça et j'étais "Mais pourquoi ça parle de Diable ? C'est extrême" et puis j'ai seulement lu qu'il était croyant, et fortement en plus. L'air de rien, ça ne court pas les rues ce genre de parti pris, surtout lorsqu'il va jusqu'à confondre Satan et DK. Je trouve que ça peut remettre des choses en question. Va-t-il se mettre en quête d'un péché imaginaire qui justifierait qu'il soit aux Enfers ? Va-t-il se questionner au sujet d'un possible rôle à jouer ? Pourquoi un pouvoir qui permet juste de se tortiller ? Est-ce qu'une confession suffira vraiment ? Pourquoi appelle-ton un chien de prairie un chien alors que c'est un rongeur ?

Eugène est un vrai cutie persévérant qui a besoin d'être défendu, parce que même s'il est rancunier le petiot il en faut visiblement beaucoup avant d'atteindre un semblant de point de non retour. Je sais pas pourquoi mais je l'ai imaginé en train de sortir les phrases que ma grand-mère me dit quand je parle d'étrangler ou d'ignorer quelqu'un, en mode "Il faut toujours être poli et dire bonjour bonne journée" jpp J'aime beaucoup le fait qu'il ait ce côté contre-courant non pas dans le fait qu'il soit exubérant ou en avance sur son temps mais justement parce qu'il a ce côté très conservateur. Bon, à part pour les sauterelles eyes *éloigne tout les pots de l'atelier pour sauver les croissants*

L'histoire d'Eugène est vraiment cool. Je trouve ça chouette que son cousin ait rejoint la famille même s'il n'est pas très emballé par cette idée. C'est mentionné ici et là, mais je me demande comment il vit le fait d'avoir déménagé vu qu'il ne semblait pas très chaud, ou pourquoi il ne l'était pas à la base, si ça le branche vraiment une boulangerie (l'air de rien pourquoi il n'en veut pas alors que c'est un moyen de perpétuer la mémoire de sa mère ?), etc. À côté de ça je suis très fan de sa relation avec Lucie, du fait que finalement le petit frère se montre très protecteur depuis leur arrivée en ville. Elle a l'air de donner du pep's à Eugène et d'entretenir une relation très fusionnelle avec lui... En gros oui je suis contente de voir une famille dont le noyau est resté complet, sans immense tragédie. Enfin la mort d'Eugène compte pour du beurre du coup, non ? Yawn

En résumé, j'ai hâte de voir les conflits qui vont naître dans le quotidien bien rangé d'Eugène suite à cette expérience étrange, ainsi que les liens qu'il va développer en espérant qu'il y ait pas beaucoup de zigotos qui viendront faire des trucs bizarres contre la vitrine de son commerce  What a Face

 
• Tu peux dans un premier temps recenser ton avatar (et ton pouvoir si tu en as un), c'est très important ;
  • Tu peux faire une demande d'habitation et/ou de lieu spécial si tu souhaites que ton personnage possède un endroit bien à lui;
  • Et tu peux maintenant t'occuper de tes Rps, liens et autres carnets de bord dans cette section du forum !

  Et surtout n'oublie pas de venir passer un coucou sur la ChatBox !
  Amuses-toi bien parmi nous, au plaisir de te voir sur le forum !♥
 
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